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- La dernière campagne publicitaire des fêtes de Balenciaga a suscité l’indignation sur les réseaux sociaux.
- Il comportait des enfants tenant des ours en peluche en peluche accessoirisés avec du matériel de bondage.
- La société s’est excusée et a déclaré qu’elle intenterait une action en justice contre les créateurs de la campagne.
Balenciaga s’est excusé pour sa dernière campagne publicitaire mettant en vedette des enfants tenant des sacs d’ours en peluche accessoirisés avec du matériel de bondage après avoir suscité l’indignation sur les réseaux sociaux et suscité des accusations de sexualisation d’enfants.
La marque de mode de luxe a publié mardi une déclaration sur les réseaux sociaux, indiquant qu’elle avait retiré les publicités de toutes ses plateformes.
« Nous nous excusons sincèrement pour toute offense que notre campagne de vacances a pu causer. Nos sacs en peluche pour ours n’auraient pas dû être présentés avec des enfants dans cette campagne », indique le communiqué.
Un autre aspect de la publicité comportait une image du sac à main de Balenciaga posé sur une pile de documents. Un examen attentif révèle que les documents font référence à une décision de la Cour suprême qui a confirmé une loi qui criminalise les images d’abus sexuels sur des enfants.
« Nous nous excusons d’avoir publié des documents troublants dans notre campagne », a écrit Balenciaga, ajoutant qu’il condamnait fermement « l’abus d’enfants sous quelque forme que ce soit ».
La société a déclaré qu’elle intenterait une action en justice contre les parties responsables de la séance photo et a affirmé qu’elles avaient également inclus des « articles non approuvés » pour la campagne.
Les photos ont suscité de vives critiques en ligne, notamment de la part d’influenceurs conservateurs qui ont accusé la marque de sexualiser les enfants.
« Balenciaga a rompu ses liens avec @kanyewest à cause d’un tweet. Pourtant, ils s’attendent à ce que nous « acceptions leurs excuses » après avoir été surpris en train de sexualiser des enfants ? » CJ Pearson, un militant conservateur, tweeté mardi.
Kering, propriétaire de Balenciaga, avec Gucci, Yves Saint Laurent et Alexander McQueen, n’a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire.
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