Anne l’intrépide ! La princesse royale a été aperçue en train de se lier d’amitié avec des pingouins aux îles Falkland

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La princesse royale est apparue pensive sur l’une des photos prises lors de sa visite officielle aux îles Falkland et publiées vendredi par le Foreign Commonwealth and Development Office (FCDO). Avec une caméra accrochée au cou, la princesse Anne regarde devant elle, en direction de l’océan, alors qu’un phoque était allongé devant elle.

Le royal sans fioritures habillé pour le temps, enveloppé dans un manteau marron chaud, un pantalon décontracté assorti et des chaussures de trekking. Elle a également enfilé une casquette et des lunettes de soleil.

La princesse a également été filmée en train de regarder curieusement certains des célèbres pingouins des îles Falkland.

Debout sur un terrain rocheux, la femme de 72 ans a remonté ses lunettes de soleil pour mieux regarder un groupe de pingouins tout en gardant les mains verrouillées derrière le dos.

Un troisième cliché publié par le FCDO montrait Anne suivant, les mains derrière le dos, son mari et ancien officier de la marine, Sir Timothy Laurence.

Le couple semblait avoir marché jusqu’à la côte et s’approcher de l’océan.

Une dernière photo partagée par le bureau du gouvernement montrait des membres des forces armées britanniques montrant autour de l’une des îles Anne et Sir Timothy.

La princesse Anne a entrepris cette visite riche en engagements à la demande du gouvernement.

La tournée de six jours a commencé avec l’accueil de la fille unique de feu la reine et de son mari sur le territoire d’outre-mer par la gouverneure des îles Falkland, Alison Blake.

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À la suite d’une rencontre avec des membres de l’Assemblée législative, le roi a marqué le 40e anniversaire de la guerre contre les Malouines en déposant une gerbe au Mémorial de la libération de 1982 à Port Stanley.

Les commémorations de l’anniversaire du conflit se sont poursuivies tout au long de la tournée, Anne visitant les îles Falkland et les équipes de déminage du MOD pour recevoir un exposé sur la façon dont l’archipel a été déminé avec succès après 1982.

Elle a ensuite visité la colonie de manchots de Magellan sous la garde de la Falkland Conservation pour voir le travail qui a été possible grâce au déminage réussi.

Il s’est également rendu à Liberty Lodge pour rencontrer des vétérans du conflit de 1982 et a visité certains des sites du champ de bataille où les troupes britanniques ont affronté leurs homologues argentins il y a quatre décennies, notamment Mount Harriet et Two Sisters.

A NE PAS MANQUER

Cependant, l’attention de la royale n’était pas uniquement concentrée sur le 40e anniversaire de la guerre, car elle a également souligné à travers sa visite le travail de conservation mené sur le territoire pour protéger sa flore et sa faune uniques ainsi que la multiculturalité la communauté locale est.

Le dernier recensement effectué sur les Malouines a montré que des personnes de 68 nations différentes avaient élu domicile dans l’archipel.

Enfin, elle a célébré le statut de ville accordé à la principale ville de l’archipel, Stanley, au cours de cette année jubilaire.

La visite d’Anne et de Sir Timothy a provoqué une réaction de Buenos Aires, Guillermo Carmona, le secrétaire argentin pour les Malvinas, l’Antarctique et l’Atlantique Sud, s’adressant aux médias sociaux pour accuser Anne d’entrer sur le territoire argentin « sans avertissement ».

Il a écrit: « La princesse Anne, de la famille royale britannique, est arrivée en Argentine sans avertissement.

« Son pays enfreint le droit international avec sa présence coloniale dans l’Atlantique Sud, contrairement aux résolutions de l’ONU et au tollé mondial. Cela explique peut-être le manque de courtoisie. »

Il a ajouté : « Il est temps pour le Royaume-Uni de se conformer à la résolution 2065/1965, à la résolution 37/9 de novembre 1982 et aux autres résolutions de l’AGNU et du Comité de décolonisation des Nations Unies ».

La réticence à le faire, a affirmé M. Carmona, « montre un manque d’engagement envers le droit international ».



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