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Berlin Pas de pause déjeuner, d’innombrables heures supplémentaires, une pression constante : c’est ainsi que Judith Trenke* décrit son travail au quotidien. L’expert en communication travaille à temps partiel depuis de nombreuses années. D’abord dans le secteur privé, maintenant dans le secteur public.
Trenke, dont le vrai nom est différent et veut rester anonyme, se sent exploité. En fait, la spécialiste aimerait travailler plus, mais son patron refuse. « Pas une chance », dit-elle. Au lieu de créer de nouveaux emplois, leurs supérieurs se reposeraient sur leurs lauriers.
« Surtout dans les postes les plus élevés, vous ne pouvez pas simplement laisser votre travail tranquille », déclare Trenke. Résultat : elle consulte régulièrement ses e-mails après le travail ou travaille un peu. « C’est injuste parce que vous n’êtes pas payé pour cela. »
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