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En comparant la quantité d’exposition de chaque groupe aux espaces verts, aux parcs et aux sources d’eau naturelles – comme les lacs, les rivières et les étangs – ils ont pu déterminer si l’exposition à ces espaces entraînait un risque moindre de maladies neurologiques.
Les patients qui vivaient à proximité de verdure et de sources d’eau naturelles présentaient un risque réduit d’hospitalisations liées à la maladie de Parkinson.
Bien que l’exposition à des sources d’eau naturelles n’affecte pas le risque connu de maladie d’Alzheimer, l’étude a prouvé que l’exposition à des espaces verts réduisait en fait le risque d’hospitalisation pour la maladie d’Alzheimer.
L’étude a porté sur des patients de plus de 65 ans, qui faisaient partie du système d’assurance-maladie de janvier 2000 à décembre 2016.
Les troubles neurologiques sont la première cause d’invalidité et la deuxième cause de décès dans le monde. En l’absence de remède connu, des mesures préventives éprouvées comme celles-ci sont essentielles pour les taux d’espérance de vie.
L’étude a également révélé que la réduction du stress, l’augmentation de l’activité physique et les interactions sociales peuvent améliorer la fonction cognitive des patients atteints de démence et de Parkinson.
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