[ad_1]
NEW DELHI : Le NCLAT a annulé une ordonnance passée par le régulateur du commerce équitable Commission de la concurrence de l’Inde (CCI) en ce qui concerne FDL et l’a chargé d’examiner la question.
L’affaire concerne le rejet par CCI d’une plainte contre DLF et sa filiale pour abus présumé de position dominante sur la base d’un deuxième rapport/complémentaire de la DG.
Le tribunal d’appel a déclaré que la CCI n’était « pas autorisée à émettre une ordonnance d’enquête complémentaire » si une fois que son unité d’enquête – le DG (directeur général) a déjà « remarqué la violation » dans son premier rapport et « la même chose ne peut être justifiée ».
Sur la base du deuxième rapport/complémentaire du DG, CCI a rendu l’ordonnance concluant que « la contravention aux dispositions » de la loi sur la concurrence n’a pas été établie contre DLF et sa filiale à 100 % Développeurs d’accueil DLF.
Un banc de deux membres du NCLAT a déclaré qu’il était « d’avis que sans entrer dans les détails ni approfondir l’affaire, l’ordonnance attaquée est susceptible d’être annulée puisque l’ordonnance est principalement rendue sur le rapport d’enquête complémentaire soumis par le DG qui a été menée sur ordre nul de la CCI. »
L’affaire concerne Regal Garden dans le secteur 90, DLF Garden City, Gurugram, où un informateur s’était plaint contre la société immobilière alléguant que les clauses de l’accord acheteur-vendeur reflétaient un abus de position dominante par DLF Home Developers.
L’informateur avait porté plainte devant la CCI alléguant des clauses « hautement injustes et discriminatoires », or, le régulateur du commerce équitable avait, le 31 août 2018, clôturé constatant qu’il n’y avait pas eu d’infraction.
L’ordonnance de la CCI a ensuite été contestée devant NCLAT, une autorité d’appel sur le régulateur du commerce équitable, qui, après plus de quatre ans, a annulé l’ordonnance et lui a renvoyé l’affaire pour réexamen.
Le Tribunal d’appel national du droit des sociétés (NCLAT) « a renvoyé » l’affaire « à CCI pour qu’elle renouvelle l’ordre sur la base du premier rapport » déposé par le bureau du DG.
« La CCI est tenue d’examiner l’intégralité de la question et de rendre l’ordonnance appropriée conformément à la loi après avoir donné la possibilité d’entendre toutes les personnes concernées dans un délai de trois mois à compter de la date de réception/production de la copie de cette ordonnance », a-t-il déclaré.
La NCLAT avait observé que la DG avait, conformément à l’ordre de la CCI, mené des enquêtes et, dans son rapport, avait révélé une violation des dispositions de l’article 4 de la loi par la DLF et sa filiale.
« Même si le DG dans son rapport d’enquête daté de mars 2016 a remarqué la violation commise par les défendeurs en vertu de l’article 4 de la loi, par son ordonnance du 9 novembre 2016, la CCI a ordonné au DG de mener une enquête plus approfondie », a-t-il déclaré.
Et après réception du deuxième rapport/supplémentaire du DG, CCI a rendu l’ordonnance concluant que la contravention aux dispositions de l’article 4 de la Loi n’est pas établie en la matière.
Interrogeant la direction de la CCI pour une deuxième enquête supplémentaire, la NCLAT a déclaré: « Une enquête plus approfondie conformément à la loi est requise dans un cas de fermeture et non dans un cas où la DG a soumis un rapport montrant la violation des dispositions de la loi par une ou plusieurs parties. »
L’affaire concerne le rejet par CCI d’une plainte contre DLF et sa filiale pour abus présumé de position dominante sur la base d’un deuxième rapport/complémentaire de la DG.
Le tribunal d’appel a déclaré que la CCI n’était « pas autorisée à émettre une ordonnance d’enquête complémentaire » si une fois que son unité d’enquête – le DG (directeur général) a déjà « remarqué la violation » dans son premier rapport et « la même chose ne peut être justifiée ».
Sur la base du deuxième rapport/complémentaire du DG, CCI a rendu l’ordonnance concluant que « la contravention aux dispositions » de la loi sur la concurrence n’a pas été établie contre DLF et sa filiale à 100 % Développeurs d’accueil DLF.
Un banc de deux membres du NCLAT a déclaré qu’il était « d’avis que sans entrer dans les détails ni approfondir l’affaire, l’ordonnance attaquée est susceptible d’être annulée puisque l’ordonnance est principalement rendue sur le rapport d’enquête complémentaire soumis par le DG qui a été menée sur ordre nul de la CCI. »
L’affaire concerne Regal Garden dans le secteur 90, DLF Garden City, Gurugram, où un informateur s’était plaint contre la société immobilière alléguant que les clauses de l’accord acheteur-vendeur reflétaient un abus de position dominante par DLF Home Developers.
L’informateur avait porté plainte devant la CCI alléguant des clauses « hautement injustes et discriminatoires », or, le régulateur du commerce équitable avait, le 31 août 2018, clôturé constatant qu’il n’y avait pas eu d’infraction.
L’ordonnance de la CCI a ensuite été contestée devant NCLAT, une autorité d’appel sur le régulateur du commerce équitable, qui, après plus de quatre ans, a annulé l’ordonnance et lui a renvoyé l’affaire pour réexamen.
Le Tribunal d’appel national du droit des sociétés (NCLAT) « a renvoyé » l’affaire « à CCI pour qu’elle renouvelle l’ordre sur la base du premier rapport » déposé par le bureau du DG.
« La CCI est tenue d’examiner l’intégralité de la question et de rendre l’ordonnance appropriée conformément à la loi après avoir donné la possibilité d’entendre toutes les personnes concernées dans un délai de trois mois à compter de la date de réception/production de la copie de cette ordonnance », a-t-il déclaré.
La NCLAT avait observé que la DG avait, conformément à l’ordre de la CCI, mené des enquêtes et, dans son rapport, avait révélé une violation des dispositions de l’article 4 de la loi par la DLF et sa filiale.
« Même si le DG dans son rapport d’enquête daté de mars 2016 a remarqué la violation commise par les défendeurs en vertu de l’article 4 de la loi, par son ordonnance du 9 novembre 2016, la CCI a ordonné au DG de mener une enquête plus approfondie », a-t-il déclaré.
Et après réception du deuxième rapport/supplémentaire du DG, CCI a rendu l’ordonnance concluant que la contravention aux dispositions de l’article 4 de la Loi n’est pas établie en la matière.
Interrogeant la direction de la CCI pour une deuxième enquête supplémentaire, la NCLAT a déclaré: « Une enquête plus approfondie conformément à la loi est requise dans un cas de fermeture et non dans un cas où la DG a soumis un rapport montrant la violation des dispositions de la loi par une ou plusieurs parties. »
[ad_2]
Source link -37