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Il n’y aura « pas de pitié » pour ceux qui manifestent de l’hostilité envers la République islamique, selon le président iranien Ebrahim Raisi alors que les manifestations anti-gouvernementales dépassent la barre des 100 jours.
S’exprimant lors de commémorations organisées par l’État pour 400 soldats tués dans la guerre Iran-Irak des années 1980, le président s’en est pris aux États-Unis et à ses alliés, les accusant de fomenter des manifestations antigouvernementales qui durent depuis plus de trois mois maintenant.
L’Iran a été secoué par des troubles après la mort de Mahsa Amini, une Irano-kurde de 22 ans décédée après avoir été détenue par la police des mœurs du pays.
Les protestations se sont rapidement transformées en appels au renversement de la théocratie iranienne, établie après la révolution islamique de 1979. Cela a marqué l’un des plus grands défis lancés au régime clérical iranien en plus de quatre décennies.
Au moins 507 manifestants ont été tués et plus de 18 500 personnes ont été arrêtées, selon Human Rights Activists in Iran, un groupe qui a suivi de près les troubles. Les autorités iraniennes n’ont pas publié de chiffres sur les personnes tuées ou arrêtées.
Pour en savoir plus, regardez le reportage d’Euronews dans la vidéo ci-dessus.
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