La Lituanie lance une grande campagne pour renforcer la préparation aux situations d’urgence

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La Lituanie a lancé une campagne d’information pour préparer ses citoyens en cas d’urgence.

Cela fait suite à une récente enquête commandée par le gouvernement qui a montré que seulement 18% des résidents possèdent un sac d’urgence, tandis que seulement 15% ont discuté du plan d’urgence de leur famille avec leurs proches.

Selon le ministre lituanien de l’Intérieur, la sécurité civile a été négligée alors que les menaces contre le pays se sont accrues.

« La pandémie de Covid-19, l’immigration clandestine, la guerre de la Russie contre l’Ukraine, l’imprévisibilité de notre voisin biélorusse et la centrale nucléaire d’Astravets près de Vilnius, tels sont les défis auxquels nous avons été confrontés les uns après les autres », a expliqué Agne Bilotaite.

En conséquence, les salles de concert et les studios de danse de l’école d’art MK Ciurlionis de Vilnius ont été choisis pour servir d’abris en cas d’urgence.

« En tant que bâtiment de sécurité collective, nous pouvons recevoir environ 2 000 personnes à court terme. En tant que bâtiment de protection ou d’hébergement sérieux, nous pouvons recevoir environ 180 à 200 personnes », a expliqué Dainius Numgaudis, directeur de l’école.

Bien que la préparation d’abris soit un moyen d’améliorer la préparation du pays, cela ne suffit pas pour assurer la sécurité des personnes. Seulement la moitié des Lituaniens déclarent qu’ils sauraient comment réagir dans une situation d’urgence. Le ministère de l’Intérieur du pays affirme que les données sont inquiétantes.

« La moitié des résidents lituaniens savent comment se comporter en cas d’urgence. Mais si nous allons plus loin, seuls 9 % des habitants savent exactement comment se comporter, tandis que 41 % pensent savoir », a révélé le ministre lituanien de l’Intérieur, Egle Vileikiene.

Le ministère de l’Intérieur a modernisé le site Web et les systèmes d’alerte, et a examiné comment mieux signaler les abris d’urgence. La Lituanie surveille également de près les éventuelles menaces posées par la centrale nucléaire d’Astravets, en Biélorussie voisine, un proche allié de la Russie.

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