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La carte s’appelait « Beach Trip » et a été diffusée à plus de 18 000 membres d’une chaîne publique Telegram appelée, en portugais, « Hunting and Fishing ».
Mais au lieu de conseils sur les loisirs de plein air, les 43 épingles réparties sur la carte du Brésil indiquaient des villes où un transport en bus vers la capitale pouvait être trouvé pour ce que les promoteurs avaient promis d’être une énorme « fête » le 8 janvier.
Le message était l’un des nombreux messages finement codés circulant sur les réseaux sociaux avant la violente attaque de dimanche contre la capitale par des partisans de l’ancien président Jair Bolsonaro cherchant à rétablir le dirigeant d’extrême droite au pouvoir.
C’est aussi maintenant une piste potentiellement vitale dans une enquête criminelle naissante sur la façon dont le saccage a été organisé et comment les responsables ont manqué des indices sur un complot qui, comme l’attaque du 6 janvier contre le Capitole américain il y a deux ans, semble avoir été organisé et exécuté en vue dégagée.
Et comme l’attaque aux États-Unis, les émeutes brésiliennes démontrent à quel point les médias sociaux permettent aux groupes antidémocratiques de recruter plus facilement que jamais des partisans et de transformer la rhétorique en ligne en action hors ligne.
Pour en savoir plus, regardez le reportage d’Euronews dans la vidéo ci-dessus.
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