[ad_1]
Publié le: Modifié:
La perte excessive de sang est la première cause de mortalité maternelle dans le monde et une énorme proportion de décès pendant la grossesse et l’accouchement se produisent en Afrique. Aujourd’hui, les chercheurs à l’origine d’une étude au Niger qui a réussi à réduire de plus de moitié le nombre de femmes qui saignent à mort pendant l’accouchement espèrent que leur travail révolutionnaire pourrait changer la donne, en particulier pour les pays en développement. Le Dr Zeidou Alassoum, qui a travaillé sur l’étude, a parlé à France 24 de la percée médicale.
[ad_2]
Source link -33