Une mère lève les sourcils avec un éditorial époustouflant du NYT félicitant la Chine d’avoir aidé à élever ses enfants: « Cela me fait peur »

Une mère américaine est sévèrement critiquée après son éditorial du New York Times applaudissant la Chine comme « adaptée aux enfants », après avoir élevé ses enfants là-bas. Vendredi, les panélistes « en infériorité numérique » ont déclaré que Heather Kaye confondait le régime autoritaire avec la discipline parentale.

Kaye a félicité le régime pour son rôle dans la « coparentalité » de ses enfants après son déménagement à Shanghai en 2006.

« Élever des enfants en Chine était un plus à d’autres égards, comme la lourde censure qui se traduit par un Internet adapté aux enfants et des limites nationales sur le nombre d’heures que les jeunes peuvent passer à jouer à des jeux vidéo en ligne », a-t-elle écrit.

LE PARTI COMMUNISTE CHINOIS BALAYE L’INTERNET DE LA NATION POUR LA « MAUVAISE CULTURE », Y COMPRIS DES IMAGES « VULGAIRES » DE FEMMES

Jackie DeAngelis de FOX Business a riposté aux affirmations de Kaye et a déclaré que cela ressemblait plus à Kaye ne peut pas contrôler ses enfants.

« Elle ne peut pas établir les règles dans sa maison et leur faire faire ce qu’il faut. Et donc elle demande au gouvernement de le faire pour elle », a déclaré DeAngelis aux panélistes vendredi.

« Beaucoup de parents dans ce pays ne seraient pas d’accord. »

Le contributeur de Fox News, Brian Brenberg, a accepté, suggérant que Kaye ne voulait tout simplement pas prendre de décisions difficiles et appliquer des règles avec ses propres enfants et qu’elle s’appuyait plutôt sur le Parti communiste chinois.

« Je ne comprends pas ces parents qui ont soif d’autoritarisme », a-t-il déclaré.

Brenberg a appelé les parents à reprendre leur famille et à ne pas compter sur le gouvernement pour la santé et l’éducation de leurs enfants.

LA CHINE RÉOUVRE LES FRONTIÈRES APRÈS TROIS ANS DE « ZÉRO-COVID »

Il a expliqué que les parents commençaient à se sentir « mis à l’écart » par le système éducatif américain et s’est demandé pourquoi quelqu’un voudrait plus de distance entre lui et ses enfants.

« Cela me fait peur parce que je crois qu’elle n’est pas la seule dans ce pays à avoir ce genre de désir que quelqu’un contrôle ce qu’elle fait en tant que parent », a-t-il déclaré.

La co-animatrice « en infériorité numérique » Emily Compango a ajouté que Kaye pourrait, en fait, chercher quelqu’un pour faire respecter la discipline plutôt que l’autoritarisme pur et simple et a appelé Kaye à y travailler elle-même.

CLIQUEZ ICI POUR OBTENIR L’APPLICATION FOX NEWS

Brenberg a noté que Kaye avait en fait confondu les concepts.

« Elle confond la discipline, ce qu’elle peut faire en tant que parent avec l’autoritarisme, ce que seul un gouvernement peut faire », a-t-il expliqué. « Et cela vient avec beaucoup d’autres choses qu’aucun de nous ne devrait vouloir. »