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Hanovre (dpa) – Selon le nouveau président de l’Office pour la protection de la Constitution, Dirk Pejril, la scène du « Reichsbürger » est depuis longtemps au centre des préoccupations des autorités de sécurité de Basse-Saxe. La Basse-Saxe a commencé très tôt à désarmer systématiquement les « citoyens du Reich », a déclaré le chef des autorités dans une interview à l’agence de presse allemande à Hanovre. « Ce groupe de personnes est considéré comme absolument peu fiable en termes de loi sur les armes », a expliqué Pejril. Pour un désarmement réussi, cependant, l’autorité des armes devait établir devant un tribunal qu’il appartenait à la scène des « citoyens du Reich ». Ce sont des gens qui ne reconnaissent pas la République fédérale et ses structures démocratiques.
Lors d’une importante rafle dans le milieu du « Reichsbürger » en décembre, le parquet fédéral a fait arrêter 25 personnes, dont un ancien membre de l’AfD du Bundestag. 22 des personnes arrêtées sont accusées d’être membres d’une organisation terroriste qui voulait renverser le système politique en Allemagne. Trois d’entre eux viennent de Basse-Saxe : un ancien policier, un médecin et un avocat. Le total de 55 suspects comprend également un officier du Bureau de la police criminelle de l’État de Basse-Saxe (LKA), qui, selon le ministère de l’Intérieur, a été temporairement relevé de ses fonctions dans le cadre d’une procédure disciplinaire. Il n’a pas été arrêté.
« Nous avons également eu ces personnes à l’écran », a déclaré Pejril, qui n’a pas autrement voulu commenter la procédure en cours du parquet fédéral. « La manière dont la planification avait déjà progressé ici, avec l’accès aux armes, l’accès aux fonds, avec des plans concrets d’action future, montre quel danger potentiel se cache réellement derrière ce groupe », a-t-il souligné à propos du prétendu subversif. Au tournant de l’année, Pejril succède à Bernhard Witthaut à la tête de l’autorité.
© dpa-infocom, dpa:230206-99-487893/3
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