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NEW DELHI : Suite à l’annonce du ministre des Finances dérivé offshore (ODI) les instruments sont des contrats valides qui peuvent être négociés dans le GIFT (Ville internationale des technologies financières du Gujarat), une modification de la Securities Contract Regulation Act (SCRA) est attendue.
Selon les experts, la proposition de Sitharaman pour les ODI, également connue sous le nom de notes participatives (P-note) devra peut-être attendre que les lois actuelles soient modifiées. En effet, pour que ces contrats soient négociés et utilisés dans GIFT, un amendement à la loi sur la réglementation des contrats de valeurs mobilières doit être apporté et approuvé par le gouvernement avant qu’ils ne puissent être légalement valides dans la ville.
Actuellement, plusieurs entités, dont des unités bancaires internationales (IBU) basées à Ville cadeau ne sont pas en mesure d’émettre ces instruments car ils ne sont pas reconnus par le SCRA.
En raison des limitations du SCRA, les succursales de banques étrangères n’ont pas été en mesure d’émettre p-notes de l’IFSC et n’ont donc pas pu déplacer leurs pupitres de négociation vers l’IFSC (Indian Financial System Code)
Que sont les notes participatives ?
Les P-notes sont des instruments qui permettent à un investisseur étranger de s’exposer en Inde sans avoir à ouvrir une boutique ici ou à s’inscrire auprès du Securities and Exchange Board of India. En règle générale, une banque ou un courtier en Inde avec une licence d’investisseur étranger valide achète les actions selon les spécifications du client et émet un contrat avec le fonds offshore, lui permettant d’obtenir une exposition indirecte à l’Inde. Ils ont été introduits pour la première fois en 2003.
Fondamentalement, ce sont les investisseurs de portefeuille étrangers qui s’exposent en Inde au nom de leurs clients, les investisseurs bénéficiaires. Et il y a eu beaucoup d’inquiétudes dans le passé à ce sujet et plus encore de la part de RBI, qui avait de sérieux doutes sur les billets participatifs en raison des risques de blanchiment d’argent.
En 2017, le SEBI avait limité l’utilisation des billets participatifs dans les produits dérivés à la seule couverture. Maintenant, la proposition de Sitharaman comprend certaines incitations, telles que l’absence de taxe sur le commerce des billets participatifs si cela se fait dans la ville de GIFT, ce qui est très positif.
Source : ET Maintenant
Selon les experts, la proposition de Sitharaman pour les ODI, également connue sous le nom de notes participatives (P-note) devra peut-être attendre que les lois actuelles soient modifiées. En effet, pour que ces contrats soient négociés et utilisés dans GIFT, un amendement à la loi sur la réglementation des contrats de valeurs mobilières doit être apporté et approuvé par le gouvernement avant qu’ils ne puissent être légalement valides dans la ville.
Actuellement, plusieurs entités, dont des unités bancaires internationales (IBU) basées à Ville cadeau ne sont pas en mesure d’émettre ces instruments car ils ne sont pas reconnus par le SCRA.
En raison des limitations du SCRA, les succursales de banques étrangères n’ont pas été en mesure d’émettre p-notes de l’IFSC et n’ont donc pas pu déplacer leurs pupitres de négociation vers l’IFSC (Indian Financial System Code)
Que sont les notes participatives ?
Les P-notes sont des instruments qui permettent à un investisseur étranger de s’exposer en Inde sans avoir à ouvrir une boutique ici ou à s’inscrire auprès du Securities and Exchange Board of India. En règle générale, une banque ou un courtier en Inde avec une licence d’investisseur étranger valide achète les actions selon les spécifications du client et émet un contrat avec le fonds offshore, lui permettant d’obtenir une exposition indirecte à l’Inde. Ils ont été introduits pour la première fois en 2003.
Fondamentalement, ce sont les investisseurs de portefeuille étrangers qui s’exposent en Inde au nom de leurs clients, les investisseurs bénéficiaires. Et il y a eu beaucoup d’inquiétudes dans le passé à ce sujet et plus encore de la part de RBI, qui avait de sérieux doutes sur les billets participatifs en raison des risques de blanchiment d’argent.
En 2017, le SEBI avait limité l’utilisation des billets participatifs dans les produits dérivés à la seule couverture. Maintenant, la proposition de Sitharaman comprend certaines incitations, telles que l’absence de taxe sur le commerce des billets participatifs si cela se fait dans la ville de GIFT, ce qui est très positif.
Source : ET Maintenant
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