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Paris (AFP)- Lewis Hamilton et ses collègues pilotes de F1 ont été informés vendredi qu’ils pouvaient toujours s’exprimer sur des questions controversées, tant qu’ils choisissaient le bon moment et le bon endroit.
L’organe dirigeant, la FIA, a clarifié sa directive sur une répression pour empêcher les commentaires « politiques, religieux ou personnels » sans approbation préalable.
Le septuple champion du monde Hamilton avait réagi à la règle en insistant : « Rien ne m’empêchera de parler des choses qui me passionnent ».
Vendredi, la FIA a indiqué que les pilotes pourront « exprimer leurs opinions sur toute question politique, religieuse ou personnelle » dans « leur propre espace et en dehors du cadre de la compétition ».
Cela inclurait lors d’entretiens avec les médias et via leurs propres canaux de médias sociaux.
En revanche, la FIA a indiqué que « lors des moments clés de toutes les compétitions de sport automobile, comme les podiums, les hymnes nationaux et les activités officielles », les pilotes ne pourront pas exprimer leurs opinions.
La FIA a cependant concédé qu’il pourrait y avoir des occasions qui seraient traitées « exceptionnellement et au cas par cas ».
Les conducteurs qui ne respectent pas l’interdiction s’exposent à diverses sanctions, allant de l’avertissement à la suspension.
Hamilton a été l’un des moteurs les plus virulents de la F1 sur les questions sociales et politiques, notamment en s’agenouillant sur la grille pour soutenir les droits civils.
« Le sport a la responsabilité de s’exprimer et de sensibiliser sur des sujets importants, d’autant plus que nous voyageons dans différents endroits. Donc rien ne change », a déclaré la star de Mercedes cette semaine.
© 2023 AFP
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