Puis-je avoir un mot sur… les mots les plus détestés au bureau

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je trouve intéressant quels mots font grincer les dents des gens normalement sensés. J’ai un collègue qui devient inutile si vous utilisez le mot « souper », tandis qu’un ancien collègue avait l’habitude de devenir bizarre si vous prononciez le mot « pantalon » à portée de voix.

Ils ne sont pas seuls dans leurs aversions pour animaux de compagnie. Une enquête menée par Brother UK, le « fournisseur de technologies et de solutions d’impression », a interrogé plus de 1 000 Britanniques pour découvrir les phrases les plus irritantes utilisées au bureau. Et le top des pops est le mot « holibobs » (vacances, pour ceux d’entre vous qui ont la chance de ne pas l’avoir rencontré). Oh, je ne pourrais pas être plus d’accord. Quelle monnaie vile.

Également sur la liste figuraient «le travail d’équipe fait fonctionner le rêve», «joyeux jour bosse», «joyeux vendredi», «enchanté de vous rencontrer en ligne» et cet annuel robuste, «sortir des sentiers battus». J’espère qu’aucun de vos collègues n’est assez inconsidéré pour manier ces puants.

Je suis reconnaissant à la correspondante Frances Carey pour ce qui suit : « Dans un différend en cours avec OVO Energy, j’ai envoyé ma quatrième lettre de réclamations de clients au PDG, comme recommandé par une émission grand public sur Radio 4. Une réponse dans les 24 heures m’assure que un « spécialiste de la résolution avancée » sera bientôt sur mon cas. Je peux difficilement attendre. »

Il y a quelques semaines, j’ai écrit sur la joie des mots régionaux, en particulier « furtle ». Richard Hawkins ajoute un autre joyau : « Ma femme utilise le mot » fuddle « , comme dans, pour faire du shopping, ce qui signifie faire du shopping sans avoir à l’esprit un article spécifique. »

Merci pour ça. Et à Shirley Jones, qui demande : « Avez-vous rencontré le mot ‘dimpsey’ ? Cela signifie ce moment de la soirée où la lumière commence à s’estomper et où l’obscurité n’est pas loin. J’ai grandi dans le Devon et pour autant que je sache, c’est un mot de là-bas.

En effet, je ne l’ai pas fait, mais merci beaucoup de l’avoir ajouté à mon vocabulaire.

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Jonathan Bouquet est un chroniqueur d’Observer

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