Le procureur de l’UE enquête sur un contrat lié à la tragédie ferroviaire grecque

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Le Parquet européen (Parquet européen) a ouvert une enquête sur un contrat concernant la mise à niveau du système de signalisation des trains grecs et de la télécommande. S’il fonctionnait, cet équipement aurait pu empêcher l’accident de train de mardi (28 février) qui a tué plus de 50 personnes.

« Je peux confirmer que le Parquet européen a effectivement une enquête en cours, portant exclusivement sur d’éventuels dommages aux intérêts financiers dans l’UE », a déclaré un porte-parole du Parquet européen à EURACTIV confirmant un précédent rapport de la Grèce. Documento.gr journal.

Le porte-parole de l’OEPP n’a fourni aucun détail concernant les enquêtes en cours afin de ne pas préjuger de leur issue.

Le contrat « 717 » a été signé en 2014 et concernait la reconstruction et la mise à niveau du système de signalisation et de la télécommande du chemin de fer Athènes – Thessalonique – Promachona.

Document a indiqué qu’il était confié à la joint-venture TOMI (filiale du groupe Aktor) et à la multinationale française Alshtom.

Cependant, l’une des entreprises n’a pas fourni les certificats nécessaires et, combinés à un manque de capacité technique, de graves retards dans la mise en œuvre du projet se sont produits.

Pour sa part, Alshtom disposait de toutes les références nécessaires et pouvait poursuivre la mise en œuvre de sa partie du projet, a informé EURACTIV.

Selon Documenten 2017, les autorités grecques ont saisi la Cour des comptes qui a approuvé un contrat complémentaire en août 2018.

Si l’avenant a été validé par la cour des comptes pour que le système global de signalisation puisse être mis en place et que la société Alshtom ait cosigné les études en juillet 2019, l’avenant a été signé par le gouvernement de Kyriakos Mitsotakis deux ans plus tard.

Par conséquent, le système de signalisation et de surveillance n’est pas en place. Les travaux restants pour terminer le contrat du 717 devraient prendre environ un an.

En attendant, les chemins de fer grecs sont toujours exploités manuellement.

Depuis jeudi, des milliers de jeunes Grecs sont descendus dans la rue pour protester et exiger des éclaircissements sur l’accident.

Le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis a attribué l’accident à une « erreur humaine », et son gouvernement a mis en place une « commission d’enquête » avec des spécialistes pour faire la lumière sur la tragédie et déterminer les responsabilités. Les autorités ne savent pas actuellement combien de passagers se trouvaient dans le train.

Le principal parti d’opposition Syriza a publié une déclaration, affirmant que l’un des membres du comité, Athanasios Ziliaskopoulos, qui était le directeur général des chemins de fer grecs pour la période 2010-2015, était responsable du déclassement des chemins de fer grecs.

L’opposition a déclaré qu’au cours de ses jours, les effectifs des chemins de fer avaient été considérablement réduits, tandis qu’un centre de contrôle à distance financé par l’UE avait été désactivé.

(Sarantis Michalopoulos | EURACTIV.com – Édité par Benjamin Fox)



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