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Le 28e sommet ibéro-américain s’est tenu vendredi en République dominicaine avec l’annonce surprise de la participation du président du Venezuela, Nicolás Maduro, dont la légitimité est remise en cause par l’Espagne et d’autres pays membres du forum.
La réunion à Saint-Domingue, qui se déroule jusqu’à samedi, se concentre sur la situation économique difficile au lendemain de la pandémie de COVID-19, qui s’est aggravée dans la région depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie. La conférence vise à renforcer la coopération entre l’Amérique latine et l’Europe.
La liste complète des pays représentés est Andorre, Argentine, Bolivie, Brésil, Colombie, Costa Rica, Cuba, Chili, République dominicaine, Équateur, El Salvador, Guatemala, Honduras, Mexique, Nicaragua, Panama, Paraguay, Pérou, Portugal, Espagne, Uruguay et Vénézuela.
La déclaration commune qui doit être signée samedi comprend « un « chemin critique pour la sécurité alimentaire, inclusif et durable en Ibéro-Amérique », une « charte environnementale ibéro-américaine », pour aider à protéger notre habitat et nos océans ; et le « chemin ibéro-américain ». Charte américaine des principes et droits dans les environnements numériques’, pour garantir l’exercice des droits fondamentaux dans le cadre de la transformation numérique », selon un communiqué de l’organisation.
Un point central sera l’accès au financement pour les pays pauvres.
L’Amérique latine fait face à une année difficile, avec des projections de croissance inférieures à 2 %, alors que le coût d’une alimentation saine dans la région est le plus cher au monde : 3,89 $ par jour et par personne (3,61 €) – inaccessible à 22,5 % des la population, selon les Nations Unies.
Le sommet ibéro-américain précède la réunion de juillet entre la Communauté des États d’Amérique latine et des Caraïbes (CELAC) et l’Union européenne, qui se tiendra les 17 et 18 juillet en Belgique.