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Jsa satire de l’ancien Premier ministre italien Silvio Berlusconi a le concept inspiré de l’envoyer dans la chanson, de sa carrière avortée de crooner de croisière à un bureau politique, à la propriété de l’AC Milan, aux soirées bunga bunga et à une tempête de procès. Vous pourriez faire toute une série de comédies musicales exposant les hommes forts populistes qui se comportent comme des « bouffons dangereux » (comme le dit l’ex-femme de Berlusconi). Il y a tellement de prétendants, après tout.
Dans la production de James Grieve, écrite par Ricky Simmonds et Simon Vaughan, Berlusconi arrive sur un escalier roman conçu par Lucy Osborne. Nous sommes à la veille d’un verdict de la cour dans son procès de 2012 pour fraude fiscale. Joué par Sébastien Torkia, il est suffisamment gras avec des cheveux lissés, un sourire mégawatt et un sentiment impénétrable d’invincibilité.
On nous parle de sa guerre contre la vérité et entendons un acte d’accusation d’infractions allant de la « corruption à une échelle épique » à « l’extorsion » et aux « manigances sexuelles », mais il y a peu de détails ou d’élaboration sur la façon dont son poste de premier ministre a endommagé la nation au-delà de la banalité. reportages répétés.
Nous entendons parler de son ex-femme, Veronica (Emma Hatton), de son ancienne amante Fama (Jenny Fitzpatrick), de l’avocate poursuivante Ilda (Sally Ann Triplett) et de sa mère (Susan Fay), mais bien que ces femmes aient une voix, elles sonnent générique. L’empereur Tibère se promène parfois, mais cette comparaison n’est pas poursuivie. Poutine (Gavin Wilkinson) se présente, torse nu, pour le duo My Weekend with Vladimir, mais nous ne sommes pas non plus pris dans la politique de cette alliance. D’autres dirigeants mondiaux font des apparitions, mais tout semble faux et déconnecté.
La partition contient des chansons utiles, telles que Let’s Get the Show on the Road, mais ressemble plus souvent au genre de musique de paquebot de croisière que le jeune Berlusconi aurait pu écouter. Les paroles qui visent l’ironie caustique sont tendues et légèrement ridicules. Une femme témoignant d’abus sexuels raconte s’être fait « piller son dernier sourire ». Berlusconi chante des femmes captivantes (« Entrez dans leur culotte, vous entrez dans leur cœur ») et des hommes (« Contrôlez le putain de football et vous les aurez par les noix »). La chorégraphie de Rebecca Howell peut être résumée comme bizarre : des mains émergent du sol de la scène pour secouer de manière jazzée ou tenir des accessoires, comme des figurants désincarnés de La famille Addams.
Nous ne ressentons jamais la piqûre de la satire, ni ne connaissons ces personnages. À plus de deux heures, c’est dommage qu’une idée aussi inspirée finisse par paraître si banale et interminable.