Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
Publié le:
Paris (AFP)- L’œuvre de l’auteur français Alexandre Dumas attire les stars depuis la naissance du cinéma, en passant par les héros du muet Douglas Fairbanks et Leonardo DiCaprio, sans oublier un certain Volodymyr Zelensky et — presque — les Beatles.
La popularité de l’écrivain du XIXe siècle ne montre aucun signe d’affaiblissement – une nouvelle version flashy de « Les Trois Mousquetaires » sortira sur les écrans français la semaine prochaine, tandis que « Le Comte de Monte Cristo » commencera à tourner cet été.
Il y a eu plus de 250 adaptations de ses livres, y compris des versions populaires de « Queen Margot » et « The Man in the Iron Mask », qui ont donné un rôle principal à DiCaprio en 1998.
Mais ce sont les mousquetaires au chapeau à plumes qui ont été les plus populaires, remontant à la première version cinématographique en Grande-Bretagne en 1898.
Fairbanks est devenu une mégastar de cape et d’épée grâce à une version de 1921, tandis que l’histoire a été transférée dans une Légion étrangère française en Afrique du Nord pour John Wayne en 1933, et des milliers de marionnettes ont été utilisées pour une version de marionnettes italiennes quelques années plus tard.
Les Beatles ont presque enfilé les capes dans les années 1960, mais ont finalement passé les rôles à Charlton Heston et Oliver Reed.
Et Hollywood les fait venir, de la version « Brat Pack » dans les années 1990 avec Charlie Sheen et Kiefer Sutherland, au remake peu aimé de 2011 mettant en vedette Milla Jovovich, Orlando Bloom et quelques cuirassés volants.
Des versions argentine, indienne, mexicaine et même soviétique ont également été vues au fil des ans.
L’une des plus improbables – en particulier du point de vue actuel – est une version en langue russe de 2004 dans laquelle les mousquetaires sont toutes des femmes et D’Artagnan est joué par un jeune Zelensky, aujourd’hui président de l’Ukraine déchirée par la guerre.
« Courage, panache »
« C’est un livre qui voyage facilement dans le temps », a déclaré à l’AFP Martin Bourboulon, directeur de la dernière itération « Les Trois Mousquetaires : D’Artagnan ».
« Ce sont les valeurs de camaraderie, de courage, de panache et de solidarité qui le rendent si intéressant. »
Cela aide que Dumas ait été un pionnier du type d’écriture qui a façonné la narration cinématographique moderne – de ses scènes d’action au rythme effréné aux multiples cliffhangers qui ponctuent chaque section.
Dumas, alors âgé de 41 ans, écrivit le roman de 1844 pour paraître sous forme de feuilleton, qui fit fureur grâce aux nouveaux périodiques.
« Il a le sens du rythme, de savoir quand accélérer, quand s’arrêter et construire l’intrigue », a ajouté le biographe Sylvain Ledda.
« En plus, il est très drôle avec le meilleur de l’esprit français : son style signature, la fantaisie, la dérision. »
Dumas a peut-être même apprécié son nom dans le classique des années 90 « The Shawshank Redemption », où les détenus profitent de l’évasion de la prison dans « The Count of Monte Cristo » mais prononcent mal son nom comme « Alexander Dumb-ass ».
© 2023 AFP