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La visite du président français Emmanuel Macron dans les Alpes cette semaine s’est déroulée dans un contexte de grèves en cours contre la réforme controversée des retraites du gouvernement, ainsi que de violentes manifestations contre les projets de construction de réservoirs d’eau dans des centaines d’endroits en France.
Les manifestants français ont été appelés à se rassembler à travers le pays jeudi soir dernier pour exprimer leur fureur contre ces affrontements qui s’intensifient.
La grande controverse est actuellement de savoir si les forces de l’ordre ont entravé l’intervention des services médicaux d’urgence lors d’une manifestation samedi à Sainte-Soline dans le sud-ouest de la France.
Deux personnes dans le coma, plus de 200 blessés
Plus de 25 000 personnes se sont rassemblées dans la ville rurale pour protester contre la construction des soi-disant méga-bassins.
Le gouvernement français estime que ces réservoirs aideront à arroser les terres agricoles pendant l’été et seront remplis pendant l’hiver en pompant les eaux souterraines.
Mais les écologistes disent que cela causera plus de mal que de bien aux rivières déjà épuisées et à la biodiversité de la région.
La manifestation a rapidement été entachée de violence avec plus de 200 manifestants blessés.
Une personne a perdu un œil après avoir été touchée par un projectile et deux autres hommes étaient toujours dans le coma une semaine plus tard, selon les organisateurs de la manifestation.
« Nous n’enverrons ni hélicoptère ni ambulance »
Dans un enregistrement publié par journal français Mediapart en coordination avec la Ligue française des droits de l’homme, on entend un échange téléphonique entre un avocat et un secouriste.
L’intervenant explique qu’aucun hélicoptère ou ambulance ne peut entrer dans la zone en raison d’un ordre émis par les forces de l’ordre.
L’avocat souligne que la zone où se trouvent les blessés graves est calme depuis 30 minutes.
L’intervenant d’urgence est d’accord mais dit qu’ils ne peuvent pas aller à l’encontre de l’ordre des autorités.
La gendarmerie nationale, la branche des forces armées qui est intervenue lors de la manifestation, a affirmé que ces accusations étaient de fausses nouvelles.
Sur Twitter, ils ont insisté pour aider aux évacuations et ont demandé à leur équipe médicale d’aider les manifestants blessés.
Dans un rapport sur l’affrontement de samedi, le directeur général de la gendarmerie a qualifié l’usage de la force de « proportionné ».
Pendant ce temps, les parents des deux hommes dans le coma ont déposé plainte mercredi, accusant les forces de l’ordre de « tentative de meurtre ».