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MILAN – Les actionnaires de Stellantis ont approuvé jeudi le programme de rémunération de la haute direction du constructeur automobile, y compris du PDG Carlos Tavares, après l’avoir rejeté l’année dernière.
Lors d’un vote consultatif uniquement, environ 80 % des actionnaires de Stellantis ont voté en faveur du rapport 2022 sur la rémunération des cadres supérieurs lors de l’assemblée annuelle du troisième constructeur automobile mondial.
La rémunération totale de Tavares, y compris les incitations à long terme qui pourraient ne pas nécessairement se transformer intégralement en un paiement, s’élevait l’an dernier à environ 23,5 millions d’euros (25,6 millions de dollars), supérieur à 19,2 millions d’euros en 2021.
Le montant, basé sur les résultats records de Stellantis l’an dernier, est composé à 91% de composantes de rémunération variable, dont 11,6 millions d’euros d’incitations à long terme, a indiqué le groupe.
Le président John Elkann, descendant de la famille italienne Agnelli, qui est le plus grand actionnaire de Stellantis via sa société holding Exor, a salué le vote « largement positif ».
« Notre rapport sur la rémunération reflète notre conviction de récompenser la performance en fonction de la réalisation d’objectifs ambitieux, tant financiers qu’ESG », a-t-il déclaré.
Stellantis a déclaré que la rémunération réelle que son PDG avait reçue l’année dernière avait chuté de 13% par rapport à 2021 pour s’établir à 14,9 millions d’euros.
Le vote est intervenu après que les investisseurs ont rejeté la rémunération des dirigeants de Stellantis pour 2021, la première année de vie du constructeur automobile formé par la fusion de Fiat Chrysler et du constructeur Peugeot PSA.
À l’époque, la rémunération de Tavares, l’une des plus élevées parmi les PDG de l’industrie automobile, avait suscité de vives critiques de la part des syndicats et des politiques, notamment en France, à un moment où le pays était en pleine campagne pour les élections présidentielles dominée par un crise du coût de la vie.
En réponse au vote de l’année dernière et sur la base des commentaires ultérieurs des actionnaires, Stellantis a introduit des changements dans sa politique de rémunération et dans ses pratiques de divulgation.
Le PDG de Ford, James Farley, a gagné un total d’environ 21 millions de dollars l’année dernière, contre près de 23 millions de dollars en 2021, tandis que les compensations étaient beaucoup plus faibles en Europe. Les rémunérations de l’année dernière s’élevaient à 4,5 millions d’euros pour le PDG de Renault et à 7,4 millions d’euros pour le PDG de Volkswagen.