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Les Alliés condamnent « dans les termes les plus forts » le dernier essai d’armes de Pyongyang et demandent instamment la fin de la « déstabilisation ».
Le Japon, la Corée du Sud et les États-Unis ont convenu de renforcer leur coopération en matière de sécurité en réponse aux menaces croissantes de la Corée du Nord, condamnant le test par le pays de son tout premier missile balistique intercontinental à combustible solide (ICBM).
Les responsables de la défense des trois pays ont discuté de la régularisation des exercices de défense antimissile et des exercices anti-sous-marins comme moyen de dissuasion ainsi que comme réponse aux « menaces nucléaires et antimissiles » de la Corée du Nord. Ils ont également discuté des moyens de reprendre les exercices trilatéraux, selon un communiqué conjoint publié vendredi à la fin des 13e pourparlers trilatéraux sur la défense à Washington, DC.
Ils « ont condamné dans les termes les plus forts les violations répétées par la RPDC des résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies (RCSNU), y compris ses provocations nucléaires et antimissiles continues et ses transferts illicites de navire à navire ».
RPDC est l’acronyme de la République populaire démocratique de Corée, le nom officiel de la Corée du Nord.
La déclaration a également exhorté Pyongyang à « cesser immédiatement toutes les activités déstabilisatrices » et « a réaffirmé qu’un essai nucléaire de la RPDC, s’il était effectué, susciterait une réponse forte et résolue de la communauté internationale ».
La Corée du Nord a testé une arme nucléaire pour la dernière fois en 2017, mais l’expansion rapide de son arsenal militaire ces dernières années a fait craindre qu’elle ne se prépare à reprendre les essais nucléaires.
Le chef Kim Jong Un s’est montré vendredi dans les médias d’Etat en train de superviser avec sa famille l’essai du combustible solide Hwasong-18, qui a été qualifié de « succès miraculeux ».
Kim a ordonné une modernisation rapide de l’armement du pays avec un nombre record de tests en 2022.
Le développement d’une technologie à combustible solide, plus sûre à utiliser, plus facile à manœuvrer et plus rapide à déployer que les variantes à propulsion liquide, était un élément clé des plans de développement des armes de Kim.
Cette année, les tests se sont intensifiés au milieu d’exercices militaires conjoints à grande échelle par les forces américaines et sud-coréennes qui, selon Pyongyang, sont une répétition pour l’invasion.
Les pourparlers sur la dénucléarisation sont au point mort depuis 2019, lorsqu’un sommet très médiatisé entre Kim et le président américain de l’époque, Donald Trump, s’est effondré.
Les trois responsables de la défense ont réitéré un appel à la Corée du Nord pour qu’elle reprenne les pourparlers.
La « voie du dialogue » reste ouverte, indique le communiqué.