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Hassan Diab, un professeur de sociologie de 69 ans, a été condamné à la prison à vie pour l’attentat à la bombe contre la synagogue de Paris en 1980. La décision d’un tribunal de Paris a été rendue par contumace et fait suite à la demande des procureurs de la peine maximale possible. Selon l’AFP, la décision a été accueillie par le silence du tribunal.
Diab, professeur de sociologie libano-canadien et résident du Canada, s’adressant à la presse à Ottawa, a qualifié le verdict de « pas juste » et l’a qualifié de « kafkaïen », c’est-à-dire quelque chose qui a « une qualité cauchemardesque complexe, bizarre ou illogique » – d’ailleurs, la même phrase a été utilisée par l’ancien vice-Premier ministre britannique Dominic Raab, qui a récemment été contraint de démissionner à la suite d’allégations d’intimidation.
« Nous espérions que la raison l’emporterait », a déclaré Diab selon l’AFP. Il a également dit qu’il s’attend à ce que le Canada ne le renvoie pas en France pour y purger sa peine.
Les procureurs, cependant, dans leurs plaidoiries finales, ont déclaré qu’il n’y avait « aucun doute possible » que Diab – qui se trouve être le seul suspect – était derrière l’attaque.
L’attaque de la synagogue de Paris en 1980 a été la première attaque meurtrière contre une cible juive sur le sol français depuis la Seconde Guerre mondiale. Il a coûté la vie à quatre personnes et en a blessé 46 autres.
Le 3 octobre 1980, des explosifs placés sur une moto explosent près d’une synagogue de la rue Copernic dans le chic 16e arrondissement de Paris.
La police soupçonnait un groupe dissident du Front populaire de libération de la Palestine d’être responsable de l’attaque, mais aucune organisation n’en a revendiqué la responsabilité. En 1999, les services de renseignement français ont accusé Diab d’avoir fabriqué la bombe de 10 kilogrammes (22 livres) utilisée lors de l’attaque. Les preuves comprenaient sa ressemblance avec des croquis de la police, une analyse de l’écriture manuscrite le confirmant comme l’acheteur du vélo utilisé lors de l’attaque, et un passeport avec son nom et des tampons d’entrée / sortie d’Espagne, d’où le plan d’attaque serait originaire.
Cependant, lors de l’enquête qui a suivi, les juges n’ont pas été en mesure de prouver la culpabilité de Diab et, en 2018, il a été libéré. Il a quitté la France pour le Canada, un homme libre. Trois ans plus tard, cette décision a été annulée et un tribunal français a ordonné qu’il soit jugé pour meurtre, tentative de meurtre et destruction de biens en relation avec une entreprise terroriste.