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UN nouvelle compagnie de ballet – on ne dit pas ça très souvent. Celui-ci est le frère cadet du Birmingham Royal Ballet, un groupe de diplômés et de danseurs en début de carrière, triés sur le volet par le directeur artistique de la BRB, Carlos Acosta.
BRB2 est une sorte d’école de fin d’études pour les jeunes danseurs, et une opportunité incroyable pour eux d’interpréter des rôles que les directeurs danseraient habituellement – dans des extraits de Swan Lake ou La Sylphide – plutôt que de porter la lance dans le corps de ballet. C’est aussi une extension efficace de la marque BRB, car ce groupe pourrait se rendre dans des théâtres que la grande compagnie n’atteint pas, avec une facture de style gala comme celle-ci, idéale pour les nouveaux publics de ballet.
Il y en a pour tous les goûts ici, des pièces maîtresses classiques aux courts métrages modernes, en passant par une expérience intrigante dans laquelle The Dying Swan obtient un remix, conçu par Acosta, réunissant le célèbre solo féminin de Fokine avec une version masculine moins connue du regretté chorégraphe français Michel Descombey. Les danseurs sont dans des mondes différents – Regan Hutsell flottant dans son tutu sur pointe, Jack Easton maladroitement anguleux sur le sol – mais il y a des moments où ils semblent se connecter.
Certains membres de la première cohorte de BRB2 ont déjà été vus et notés dans la principale société BRB. Béatrice Parme, déjà première soliste, arrive d’un pas sûr dans Diane et Actéon, ses arabesques se mettant en place avec certitude. Le saut en hauteur Eric Pinto Cata est à surveiller, ses pieds battant comme des ailes de papillon comme James en kilt dans La Sylphide. Enrique Bejarano Vidal est un plaisir pour la foule lorsqu’il chancelle en tenant une bouteille de vin dans Les Bourgeois de Jacques Brel et parvient à laisser voler les membres, même en faisant des pas exigeants. Et le point culminant est End of Time de Ben Stevenson, dans un rendu mature de Lucy Waine et Oscar Kempsey-Fagg, finement accordés l’un à l’autre et savourant les lignes simples mais délicieuses de ce pas de deux sobre et envoûtant.
Les nouveaux danseurs font preuve de soin et de précision, ainsi que d’un sens de la performance en développement. Il est clair qu’ils sont encore jeunes, mais c’est une vitrine agréablement impressionnante et la preuve qu’Acosta est sérieux au sujet de l’investissement dans les jeunes talents.