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La Plata (Argentine) (AFP) – La vice-présidente argentine et ancienne dirigeante Cristina Kirchner a juré de ne pas chercher à revenir à la plus haute fonction alors que le pays se prépare pour les élections d’octobre.
La politicienne de centre gauche de 70 ans, qui a dirigé l’Argentine de 2007 à 2015, a été reconnue coupable d’avoir supervisé des contrats de travaux publics frauduleux pendant sa présidence – bien qu’elle ait été épargnée par l’immunité parlementaire.
Lors d’un événement au sud de la capitale Buenos Aires jeudi, Kirchner a été accueillie par une foule d’environ 2 000 partisans l’appelant à se présenter à nouveau, scandant « Cristina président ».
« Non, non, non, pas de président », leur a-t-elle dit.
Alors que les sondages ont identifié Kirchner comme le membre le mieux placé de la coalition au pouvoir, elle a souligné qu’elle était « condamnée, interdite, disqualifiée » et avait déjà survécu à une tentative d’assassinat ratée en septembre.
Les spéculations vont bon train sur qui reprendra le flambeau après l’annonce surprise du président Alberto Fernandez ce mois-ci qu’il ne se représenterait pas.
Dans l’opposition, l’ancien président Mauricio Macri (2015-19) s’est également exclu de la course.
Kirchner, qui était également auparavant la première dame, avait déclaré en décembre qu’elle « n’allait pas être candidate à quoi que ce soit », après que les tribunaux lui aient infligé une peine de six ans de prison et l’aient exclue de la fonction publique à vie, bien que comme vice-présidente, elle bénéficie d’une immunité temporaire.
Elle a qualifié les accusations portées contre elle depuis son départ de la présidence de « persécution politique ».
Celui qui remportera le prochain vote devra faire face à une crise économique qui a vu l’inflation grimper à près de 22 % au cours des trois derniers mois et à plus de 100 % au cours de la dernière année.
Le peso argentin a subi une dépréciation constante par rapport au dollar américain, ce qui a incité Kirchner jeudi à attaquer les partisans de la dollarisation tels que Javier Milei, un candidat libéral-libertaire.
Elle a également accusé le Fonds monétaire international d’avoir alimenté l’inflation d’Argentia après avoir signé un accord avec le précédent gouvernement de droite d’une valeur de 44,5 milliards de dollars.
Les Argentins se rendront aux urnes le 22 octobre, avec un second tour prévu pour le 19 novembre si nécessaire.
Les primaires du camp gouvernemental et de l’opposition auront lieu le 13 août.
© 2023 AFP