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Plusieurs affrontements entre opposants et partisans du président turc Recep Tayyip Erdogan ont été signalés en France lundi.
Des bagarres ont éclaté hier dans les bureaux de vote de la ville de Marseille, dans le sud de la France, alors que les Turcs vivant à l’étranger ont voté lors d’élections cruciales dans leur pays.
Quatre policiers auraient été blessés en tentant de séparer les partisans du dirigeant sortant Recep Tayyip Erdogan de ceux qui s’opposent à lui.
Le premier combat a eu lieu vers 14h30 heure locale, avec quatre personnes hospitalisées à cause des violences.
Les agents ont ensuite utilisé des gaz lacrymogènes.
Les affrontements se sont poursuivis tout au long de la journée, malgré la présence de la police, et deux personnes ont été interpellées.
Les élections en Turquie auront lieu le 14 mai, mais l’importante communauté d’expatriés de Turquie est autorisée à voter des semaines avant.
C’est l’un des votes les plus significatifs depuis des années, qui façonnera le destin politique de la Turquie.
Erdogan, qui dirige le pays depuis plus de 20 ans, fait face à une opposition unie pour la première fois depuis son arrivée au pouvoir.
Son soutien a été battu ces dernières années alors que l’économie autrefois forte de la Turquie s’est effondrée, la livre turque s’effondrant en valeur.
Pendant ce temps, certains accusent l’homme de 69 ans d’avoir poussé la Turquie vers l’autoritarisme et de saper les principes laïcs sur lesquels elle a été fondée.
Cependant, Erdogan conserve des niveaux de soutien élevés, en particulier parmi les électeurs religieux et plus conservateurs, les sondages prédisant une course serrée entre lui et son adversaire Kemal Kiliçdaroglu.
Kiliçdaroglu, 74 ans, dirige une alliance de six partis d’opposition, allant de la droite nationaliste à la gauche démocratique.
Il est à la tête du CHP fondé par le père de la Turquie moderne, Mustafa Kemal Atatürk.
Kiliçdaroglu s’est engagé à expulser l’importante population de réfugiés syriens du pays, qui compte environ 3,5 millions de personnes, s’il remporte les élections.
Si les deux camps prétendent remporter le premier tour, un éventuel second serait organisé le 28 mai.