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La Ligue arabe a accueilli dimanche le retour du gouvernement syrien dans son giron. Cela marque la fin d’une suspension de plus d’une décennie et avec cela, le président Bachar al-Assad a fait un retour dans le giron arabe après des années d’isolement.
Dans une décision anonyme, les ministres des Affaires étrangères du groupe ont annoncé que « les délégations gouvernementales de la République arabe syrienne reprendront leur participation aux réunions de la Ligue arabe », à partir de dimanche.
Dans leur déclaration, les ministres des Affaires étrangères du groupe ont évoqué leur « empressement à lancer un rôle arabe de premier plan dans les efforts de résolution » de la crise syrienne et de ses « conséquences humanitaires, sécuritaires et politiques ». Ils ont également noté que l’aide humanitaire doit parvenir à « tous ceux qui en ont besoin ».
En outre, ils ont décidé de créer un comité ministériel pour poursuivre un « dialogue direct » avec le gouvernement syrien dans le but de parvenir à une solution globale.
Selon l’AFP, le groupe de 22 membres avait suspendu la participation de Damas en novembre 2011 en raison des actions de la nation contre les manifestations pacifiques qui avaient commencé plus tôt cette année-là. Ces manifestations se sont transformées en conflit civil et ont entraîné la mort de plus de 500 000 personnes, le déplacement de millions de personnes et des dommages importants aux infrastructures et à l’industrie du pays.
Depuis le début de la guerre, le président Bachar al-Assad a été isolé politiquement. Cependant, avant un sommet de la Ligue arabe dans la ville saoudienne de Djeddah le 19 mai, ces dernières semaines ont vu une vague d’activités diplomatiques.
Au début du conflit, un certain nombre de pays arabes ont rompu leurs relations diplomatiques avec la Syrie, « pariant sur sa disparition ».
D’autres, comme le Qatar et l’Arabie saoudite selon l’AFP, ont même offert leur aide à l’opposition syrienne.
Cependant, le chef « s’est obstinément maintenu au pouvoir » et a même regagné un territoire qui avait été précédemment perdu pendant le conflit. Pour cette raison, les capitales régionales se sont lentement réchauffées à lui. Cette acceptation, selon l’AFP, a été encore facilitée par le soutien vital apporté par l’Iran et la Russie.
Les Émirats arabes unis, qui ont repris leurs relations diplomatiques avec Damas vers la fin de 2018, auraient pris la tête de la récente campagne de réintégration de la Syrie dans la communauté arabe.
Un tremblement de terre qui a dévasté la Turquie et la Syrie le 6 février de cette année a encore contribué à une ouverture arabe au gouvernement d’Assad.
(Avec les contributions des agences)
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