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Récemment, le Zimbabwe a approuvé l’utilisation du cabotégravir injectable à action prolongée (CAB-LA) comme prophylaxie pré-exposition (PrEP) pour la prévention du VIH, recommandée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) plus tôt cette année, ce qui en fait le premier pays africain et le troisième dans le monde pour le faire. Après que les régulateurs de pays comme les États-Unis et l’Australie aient déjà soutenu l’utilisation du médicament.
« CAB-LA peut être proposé aux personnes à risque important de contracter le VIH dans le cadre d’approches globales de prévention du VIH », avait précédemment indiqué l’OMS. En juillet, l’agence mondiale de la santé a recommandé le médicament en disant qu’il était très efficace pour réduire le risque de transmission chez les personnes les plus à risque de contracter le VIH.
La recommandation aurait été formulée à la lumière de l’observation d’une augmentation des infections à VIH dans le monde : « Les efforts de prévention du VIH sont au point mort, avec 1,5 million de nouvelles infections à VIH en 2021… comme en 2020. Il y a eu 4 000 nouvelles infections chaque jour en 2021, avec les populations clés et leurs partenaires sexuels représentent 70 % des infections à VIH dans le monde.
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Les populations clés auxquelles l’OMS faisait référence seraient les professionnel(le)s du sexe, les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, les consommateurs de drogues injectables, les personnes en prison et les personnes transgenres. Selon les médias locaux, dans la plupart des pays africains, les professionnel(le)s du sexe et les personnes de la communauté LGBTQIA+ sont souvent négligées dans le contexte de l’accès aux soins de santé en raison des « lois et de la ségrégation sociale ».
Selon l’OMS, la forme injectable intramusculaire à action prolongée de la PrEP doit être administrée avec les deux premières injections à quatre semaines d’intervalle, suivies par la suite d’une injection toutes les huit semaines. Selon le rapport, les injections de CAB-LA tous les deux mois sont sûres et très efficaces pour réduire le risque de contracter le VIH.
Dans un communiqué, l’OMS a également salué cette décision et l’a qualifiée d ‘ »étape cruciale » pour la nation africaine, ajoutant qu’elle les soutiendrait « pour concevoir et développer des programmes afin que CAB-LA puisse être mis en œuvre, en toute sécurité et efficacement, pour le plus grand nombre ». impact ».
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Le Zimbabwe a vu les décès liés à l’aide passer d’au moins 130 000 en 2002 à 20 000 en 2021, selon les médias. L’année dernière, le pays a également lancé l’initiative 90-90-90 qui vise à mettre fin au sida d’ici 2030. Elle fait référence à 90 % des personnes vivant avec le VIH connaissant leur statut, 90 % recevant un traitement antirétroviral et 90 % ayant le virus supprimé.
(Avec les contributions des agences)
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