Customize this title in frenchDeux citoyens français quittent l’Iran après leur sortie de prison : Paris

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Téhéran affirme que la libération de Bernard Phelan et Benjamin Brière, emprisonnés pour espionnage présumé, est une « action humanitaire ».

L’Iran a libéré deux citoyens français, Bernard Phelan et Benjamin Brière, d’une prison de la ville de Mashhad, dans le nord-est du pays, selon le président français Emmanuel Macron.

« Nous continuerons à œuvrer pour le retour de ceux de nos compatriotes qui sont toujours détenus en Iran », a déclaré Macron vendredi sur Twitter.

Les liens entre la France et l’Iran se sont détériorés ces derniers mois avec la détention par Téhéran de six ressortissants français dans ce que Paris a décrit comme des arrestations arbitraires équivalant à une prise d’otage par l’État.

Catherine Colonna, la ministre française des Affaires étrangères, a déclaré dans un communiqué séparé que Phelan et Brière étaient en route pour la France.

Le ministère iranien des Affaires étrangères a qualifié leur libération d' »action humanitaire ».

« Otages »

Phelan, un citoyen franco-irlandais de 64 ans, a été condamné en avril à six ans et demi de prison pour « avoir fourni des informations à un autre pays », a indiqué sa famille, qui s’est inquiétée de sa mauvaise santé. Le consultant en voyages basé à Paris a été arrêté en octobre à Mashhad.

Phelan a entamé une grève de la faim sèche en janvier pour protester contre sa détention mais a arrêté l’action à la demande de sa famille, qui craignait qu’il ne meure.

Des manifestants tiennent des photos des détenus français Benjamin Brière, à gauche, et Jacques Paris [File: Stephane de Sakutin/AFP]

Brière, 37 ans, était détenu en Iran depuis mai 2020, date à laquelle il avait été arrêté après avoir piloté un mini-hélicoptère télécommandé près de la frontière turkmène-iranienne.

Un tribunal iranien l’a condamné en mars à huit ans de prison pour espionnage.

Il a ensuite été acquitté par une cour d’appel mais est resté en prison dans une situation qualifiée « d’incompréhensible » par sa famille.

Comme Phelan, Brière a été détenu à la prison de Vakilabad à Mashhad et a entamé des grèves de la faim pour protester contre ses conditions.

Quatre autres citoyens français, précédemment qualifiés d’« otages » par le ministère français des Affaires étrangères, sont toujours emprisonnés par l’Iran.

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