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Macron, qui a personnellement rencontré le PDG de ProLogium, Vincent Yang, au début du processus de vérification, devait annoncer officiellement vendredi à Dunkerque l’investissement de 5,2 milliards d’euros (5,7 milliards de dollars).
Gilles Normand, vice-président exécutif de ProLogium, a déclaré qu’après que Macron, un ancien banquier d’affaires, ait lancé Yang il y a plus d’un an, le ministre des Finances, Bruno Le Maire, a suivi et aidé à plaider la cause de l’entreprise auprès de la Commission européenne pour des incitations financières de l’UE.
« Il y a eu alors la prise de conscience qu’il pouvait y avoir des possibilités intéressantes, ce qui était peut-être un peu différent des clichés sur la France », a déclaré Normand à un petit groupe de journalistes.
Le moment de l’investissement est fortuit pour Macron, qui tente de tourner la page de mois de grèves et de protestations contre son projet de relever l’âge de la retraite de deux ans à 64 ans et de montrer aux électeurs sceptiques que sa poussée pro-business porte ses fruits.
ProLogium s’attend à ce que le projet crée 3 000 emplois directement et quatre fois plus indirectement, une aubaine dans une région où l’extrême droite et l’extrême gauche obtiennent des scores élevés après des années de déclin industriel.
L’émergence d’une grappe industrielle autour des trois usines de batteries déjà en chantier était en soi une attraction, offrant une masse critique de fournisseurs de matériaux et de travailleurs qualifiés, a déclaré Normand.
Joue également en faveur de la France, son électricité zéro carbone à prix compétitif, produite par l’un des plus grands parcs nucléaires au monde mais aussi de plus en plus par l’éolien offshore et le solaire.
Normand a ajouté que le gouvernement a adouci l’accord avec un ensemble d’incitations mais n’a pas pu donner de détails alors que d’autres subventions étaient à l’étude à la Commission européenne.
Le gouvernement Macron est impatient d’utiliser le récent assouplissement des règles de l’UE en matière d’aides d’État pour offrir de nouveaux allégements fiscaux et d’autres subventions afin d’encourager les investissements dans les technologies vertes.
Il a annoncé jeudi que le gouvernement offrirait un nouveau crédit d’impôt pouvant atteindre 40% de l’investissement en capital d’une entreprise dans des projets éoliens, solaires, de pompes à chaleur et de batteries.
Pendant ce temps, le gouvernement espère également stimuler la demande des consommateurs pour les voitures électriques fabriquées en Europe en conditionnant une incitation en espèces de 5 000 euros aux véhicules répondant aux normes exigeantes en matière de faible émission de carbone dans leur production, excluant ainsi les voitures non européennes.