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La fusillade s’est produite dans une école primaire du centre de Belgrade lorsqu’un garçon de 13 ans a pris l’arme de son père et a ouvert le feu
Une jeune fille grièvement blessée lors d’une fusillade dans une école de Belgrade au début du mois est décédée, portant le bilan à 10 morts, ont annoncé lundi les autorités.
La jeune fille est décédée lundi matin dans une clinique pour enfants à Belgrade, a annoncé le ministère serbe de la Santé, selon les médias officiels. La jeune fille était dans un état critique avec des blessures à la tête à la suite de l’attaque du 3 mai, selon un communiqué.
La fusillade s’est produite dans l’école primaire Vladislav Ribnikar, dans le centre de Belgrade, lorsqu’un garçon de 13 ans a pris l’arme de son père et a ouvert le feu, tuant initialement huit enfants et un gardien d’école, et blessant six élèves et un enseignant.
La toute première fusillade dans une école en Serbie a stupéfié le pays des Balkans. Un jour plus tard, un jeune de 20 ans a tiré au hasard avec une arme automatique dans deux villages au sud de Belgrade, tuant huit personnes et en blessant 14.
Les deux massacres en autant de jours ont déclenché des appels à l’action. Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté à Belgrade et dans d’autres villes pour exiger la démission de hauts responsables et l’interdiction des chaînes de télévision pro-gouvernementales qui diffusent des contenus violents et accueillent des criminels de guerre et des personnalités du crime.
Le gouvernement populiste serbe a lancé une répression des armes à feu qui comprend une amnistie d’un mois pour ceux qui remettent volontairement des armes non enregistrées, ainsi qu’un contrôle plus strict des propriétaires d’armes, un moratoire sur les nouvelles licences et des peines de prison pour possession d’armes illégales.
La police a déclaré que les citoyens avaient remis quelque 13 500 armes diverses dimanche. La période d’amnistie durera jusqu’au 8 juin, mais les analystes ont averti que des actions similaires dans le passé avaient eu un succès limité.
Détracteurs du président populiste Aleksandar Vučić disent que le dirigeant serbe de plus en plus autoritaire qui est un ancien ultranationaliste pro-russe, a contribué à une atmosphère d’intolérance dans la société en favorisant le discours de haine contre les opposants et en prenant un contrôle strict sur les médias grand public et les institutions de l’État.
Vučić a nié cela. Il a suggéré qu’il pourrait convoquer des élections anticipées en septembre en réponse aux protestations et à la pression publique croissante à propos de la fusillade.