Customize this title in frenchLoi sur les données : les garanties relatives aux secrets d’affaires doivent être une exception et non une règle, selon la Commission

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsLa Commission européenne est ouverte à l’introduction d’un mécanisme de protection des secrets commerciaux dans la loi sur les données tant qu’il reste une exception plutôt que la règle, selon une note interne consultée par EURACTIV. La loi sur les données est une proposition législative réglementant l’accès, le partage et le portage des données. Elle obligerait notamment les fabricants d’objets connectés à permettre aux utilisateurs d’accéder aux données qu’ils contribuent à générer et de les partager avec un tiers. Certaines parties de l’industrie, y compris des poids lourds européens comme Siemens et SAP, se sont opposées avec véhémence au projet de loi, arguant que, sans les garanties appropriées, les obligations de partage de données compromettraient inévitablement leur compétitivité en les forçant à divulguer des informations commercialement sensibles. Ces préoccupations ont trouvé une oreille attentive au sein du Conseil des ministres de l’UE, les États membres ayant introduit le principe selon lequel une organisation peut refuser la divulgation de données si elle peut démontrer qu’elle est susceptible d’entraîner de graves dommages économiques. Pour le Parlement européen, cette mesure donne un droit de veto aux organisations contrôlant les données, les détenteurs de données, pour rejeter les demandes d’accès aux données, sapant tout l’objectif du règlement. « La Commission peut être disposée à envisager de telles garanties, comme le propose le Conseil, tant qu’un tel mécanisme reste une exception à la règle, reste conforme à la directive sur les secrets d’affaires (y compris son objectif et ses principes sous-jacents), les textes législatifs empêcher son interprétation extensive ou son utilisation extensive, et un fardeau disproportionné pour les PME est évité », lit-on dans la note. En vue de rapprocher les positions des colégislateurs de l’UE sur ce point critique, la Commission semble ouverte aux préoccupations des fabricants sur la meilleure façon de protéger leurs secrets d’affaires, notamment contre la concurrence déloyale et la divulgation illicite de données commercialement confidentielles. Selon une source informée sur la question, l’exécutif européen a été actif dans les négociations interinstitutionnelles, dites négociations en trilogue, défendant ses vues et fournissant des explications techniques. Cet activisme compense en partie le manque de dynamisme fourni par la présidence suédoise, précise la source. Alors que le plan initial était de clôturer les trilogues d’ici la fin juin, les observateurs sont de plus en plus convaincus que le dossier finira entre les mains de la présidence espagnole qui prendra la tête de l’UE en juillet. Loi sur les données : le Conseil de l’UE se penche sur les secrets commerciaux et les indemnisations La présidence suédoise du Conseil de l’UE a fait circuler le cinquième texte de compromis sur la loi sur les données, obtenu par EURACTIV, introduisant la possibilité de refuser les demandes de partage de données si elles risquent de causer de graves dommages économiques. La Data Act est une législation phare pour… Accès aux données d’entreprise à gouvernement Le prochain trilogue politique est prévu le 23 mai. En plus de discuter des secrets commerciaux, les décideurs politiques de l’UE devraient clore le chapitre de la loi sur les données qui habiliterait les organismes publics à demander l’accès à des données privées dans des circonstances spécifiques. Un aspect crucial de ce chapitre est le type de données, car le Parlement européen pousse à exclure les données personnelles du champ d’application de ces dispositions. En revanche, le Conseil de l’UE a conservé des données à caractère personnel, mais a introduit plusieurs garanties telles qu’une notification à l’autorité de protection des données compétente, une justification et des mesures de protection pour les demandes liées à des urgences publiques et l’exigence que les demandes aient une base juridique spécifique. La Commission tient également à maintenir les données à caractère personnel dans le champ d’application et considère que le texte du Conseil offre des garanties suffisantes. Cependant, un compromis envisagé est de limiter les données personnelles aux demandes dans les situations les plus graves. À cet égard, les députés veulent supprimer le principe selon lequel les organismes publics pourraient demander des données non seulement pour répondre, mais aussi pour récupérer et atténuer une urgence publique. Pour la Commission, « la nature de certaines urgences qui peuvent nécessiter l’obtention de données avant qu’un événement ne se produise réellement (par exemple un tremblement de terre) ou pour aider aux efforts de rétablissement. Dans le même temps, la Commission doit rester flexible. Une autre question ouverte est de savoir si les petites et micro-entreprises devraient être incluses dans le champ d’application des obligations entre entreprises et gouvernement (B2G), car le Conseil de l’UE souhaite les inclure dans des situations spécifiques. Cette prolongation pourrait être assortie d’un droit à indemnisation. En ce qui concerne les institutions de l’UE, les États membres ont proposé de limiter cette capacité à la Commission et à la Banque centrale européenne pour limiter ce chapitre aux seuls organismes publics qui l’utiliseront en pratique. La note de l’exécutif européen ajoute que, même si la portée de ces dispositions est restreinte, ils pourraient toujours partager les données avec d’autres institutions de l’UE en cas de besoin exceptionnel. Points pour approbation La prochaine réunion politique devrait également entériner certains points moins controversés qui ont déjà été convenus au niveau technique. Le texte initial interdisait aux détenteurs de données d’imposer unilatéralement des clauses contractuelles abusives aux destinataires de données qui sont des PME. Les colégislateurs ont convenu d’étendre cette protection à toute entreprise, quelle que soit sa taille. Les organismes du secteur public qui accèdent à des données privées pourraient les transmettre à des organismes de recherche et à des organismes statistiques pour des activités d’intérêt public. Les colégislateurs ont convenu d’accorder au détenteur des données le droit de se plaindre de la transmission ultérieure de données auprès de l’autorité compétente. Lorsque les données sont partagées entre entreprises, le détenteur des données peut demander une compensation pour la mise à disposition des données, qui peut inclure une marge si le destinataire n’est pas une PME. L’exécutif européen sera chargé d’élaborer des lignes directrices pour déterminer les critères de calcul de cette compensation. [Edited by Nathalie Weatherald] En savoir plus avec EURACTIV Interconnecter les discussions sur la connectivitéNotre écosystème mondial de connectivité évolue rapidement et certaines parties prenantes affirment que la politique n’a pas suivi le rythme. L’avenir de la connectivité en Europe est entouré de questions difficiles. Certains sont plus pressants que d’autres. GAEurope recadre la discussion. !function(f,b,e,v,n,t,s) if(f.fbq)return;n=f.fbq=function()n.callMethod? n.callMethod.apply(n,arguments):n.queue.push(arguments); if(!f._fbq)f._fbq=n;n.push=n;n.loaded=!0;n.version=’2.0′; n.queue=[];t=b.createElement(e);t.async=!0; t.src=v;s=b.getElementsByTagName(e)[0]; s.parentNode.insertBefore(t,s)(window, document,’script’, ‘https://connect.facebook.net/en_US/fbevents.js’); fbq(‘init’, ‘307743630704587’); fbq(‘track’, ‘PageView’);

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