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Brasilia (AFP) – Le Brésil a brûlé des combustibles fossiles pour l’électricité au niveau le plus bas depuis plus d’une décennie en février, grâce à l’utilisation en plein essor de l’énergie éolienne et solaire, selon une étude publiée jeudi.
La plus grande économie d’Amérique latine, dont le réseau est principalement alimenté par des barrages hydroélectriques, n’a obtenu que 4,9 % de son électricité à partir de combustibles fossiles en février, la première fois que le chiffre mensuel est tombé en dessous de 5 % depuis juillet 2012, selon un groupe britannique de recherche sur les énergies propres. Braise.
Au premier trimestre de l’année, les combustibles fossiles – principalement le gaz naturel – ont fourni 5,4% de l’électricité du Brésil. Ce chiffre était en baisse par rapport à 10% pour la même période en 2022, entraînant une baisse de 29% des émissions de dioxyde de carbone, a-t-il déclaré.
Les gains en énergie propre ont été tirés par l’éolien et le solaire, qui représentent désormais respectivement 12% et 3% du mix électrique dans le pays de 215 millions d’habitants, où la demande d’électricité a augmenté de près de 25% depuis 2011.
L’énergie éolienne a augmenté de 36% par an au Brésil depuis 2011, et l’énergie solaire de 26% par an, a déclaré Ember.
« Poursuivre cette accumulation d’énergies renouvelables va être crucial si le Brésil veut rester à l’écart des énergies fossiles », a déclaré à l’AFP l’auteur de l’étude, Matt Ewen.
Le président Luiz Inacio Lula da Silva, qui a pris ses fonctions en janvier, s’est engagé à développer l’énergie verte au Brésil et à restaurer le rôle de leader du pays dans la lutte contre le réchauffement climatique, après quatre ans sous la direction de Jair Bolsonaro, sceptique du changement climatique d’extrême droite.
Le Brésil, qui dépend de l’hydroélectricité pour 63% de son électricité, affirme que son réseau est parmi les plus verts au monde – bien que les écologistes disent que cela ne tient pas compte des émissions de carbone des arbres tués lorsque les terres sont inondées pour les réservoirs de barrage.
Et l’approvisionnement en énergie hydroélectrique du Brésil est en danger : les experts disent que la destruction progressive de la forêt amazonienne rend le pays plus sujet à la sécheresse, asséchant l’approvisionnement en eau des barrages.
Au cours de la dernière décennie, le réseau de barrages du Brésil est passé de 59% de sa production maximale à 38%, bien que des conditions favorables à la production hydroélectrique aient permis d’atteindre les récents creux d’utilisation des combustibles fossiles, a déclaré Ember.
© 2023 AFP