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Suite à l’émission d’un mandat d’arrêt contre le président russe Vladimir Poutine par la Cour pénale internationale (CPI) en mars, les autorités russes ont ajouté le procureur de la CPI, Karim Khan, à leur liste de « recherchés ».
Selon l’AFP, la photo de Khan est apparue vendredi dans la base de données du ministère russe de l’Intérieur. L’avis identifierait Khan comme « un homme né le 30 mars 1970 à Édimbourg, en Écosse », mais ne précise pas son infraction.
Karim Khan a-t-il fait l’objet d’une enquête ?
En mars, la commission d’enquête russe, chargée d’enquêter sur les crimes majeurs, a déclaré que Khan faisait l’objet d’une enquête pour « poursuite pénale d’une personne connue pour son innocence » et pour avoir prétendument planifié « une attaque contre un représentant d’un État étranger jouissant du droit international ». protection. »
Reuters rapporte que Moscou a ouvert des poursuites contre Khan et trois juges de la CPI le 20 mars, quelques jours seulement après l’ordonnance d’arrestation de Poutine par la CPI.
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Pourquoi la CPI a-t-elle émis un mandat d’arrêt contre Vladimir Poutine ?
Selon l’AFP, le mandat d’arrêt de la CPI contre Poutine a été émis pour des crimes de guerre présumés liés à la déportation illégale d’enfants ukrainiens.
Outre le mandat d’arrêt de Poutine, la cour internationale a également émis un mandat d’arrêt contre Maria Lvova-Belova, commissaire présidentielle russe aux droits de l’enfant.
Poutine peut-il réellement être arrêté ?
La Russie n’étant pas membre de la CPI, le pays a rejeté la validité des mandats d’arrêt et déclaré qu’ils étaient « nuls ».
Néanmoins, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué la décision de la CPI comme une « décision historique » qui initie une responsabilité historique. Le président américain Joe Biden a également soutenu le mandat d’arrêt contre Poutine, déclarant qu’il était « justifié ».
Combien d’enfants la Russie a-t-elle « volés » ?
Selon Kiev, plus de 16 000 enfants ukrainiens ont été expulsés vers la Russie depuis le début de l’offensive de Moscou en février 2022. La nation déchirée par la guerre a allégué que nombre de ces enfants auraient été placés dans des institutions et des foyers d’accueil.
La Russie et Poutine ont nié que des crimes de guerre aient été commis lors de l’invasion de l’Ukraine. Au lieu de cela, ils allèguent qu’ils sont victimes d’agressions et de mensonges occidentaux. La nation prétend également avoir sauvé des enfants ukrainiens des horreurs de la guerre.
Cependant, le mois dernier, dans une résolution adoptée par son assemblée parlementaire, le Conseil de l’Europe a également condamné le transfert forcé d’enfants ukrainiens par la Russie et a déclaré qu’il constituait un génocide.
La résolution a souligné qu’il existe des preuves indiquant que les enfants déportés ont été soumis à un processus de « russification » par la rééducation dans la langue, la culture et l’histoire russes et a souligné que ces transferts d’enfants ukrainiens faisaient clairement partie d’une politique systématique de l’État, avec l’intention d’éradiquer tout lien avec leur identité ukrainienne et d’éliminer leurs caractéristiques culturelles ukrainiennes.
L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) a également demandé que les Nations Unies et la Croix-Rouge obtiennent un accès leur permettant de collecter des informations sur les enfants concernés.
(Avec les contributions des agences)
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