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La Grèce s’est rendue aux élections parlementaires dimanche 21 mai avec 9,8 millions d’électeurs inscrits cherchant à voter pour élire le prochain gouvernement. Il s’agit de la première élection depuis que le pays a été libéré de la tutelle des prêteurs internationaux qui avaient fourni des fonds de sauvetage au cours des dernières années.
Le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis, 55 ans, ancien banquier formé à Harvard, et Alexis Tsipras, 48 ans, qui dirige le parti de gauche Syriza et a été Premier ministre pendant certaines des années les plus mouvementées de la crise financière, sont les deux principaux prétendants dans la mêlée.
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Le parti au pouvoir de Mitsotakis, la Nouvelle Démocratie, détient actuellement les as avec 159 sièges au Parlement hellénique de 300 sièges. Au cours de la campagne de démarchage, Mitsotakis a promis de s’appuyer sur son travail antérieur, après avoir sorti le pays de la contrainte financière. S’inspirant du livre du président américain Joe Biden, Mitsotakis a utilisé le slogan « Finissons ce que nous avons commencé » pour attirer les électeurs.
Il s’est félicité en faisant remarquer que les réductions d’impôt accordées au cours de son premier mandat avaient entraîné une croissance annuelle de 3 % et réduit le chômage à moins de 8 %.
La crise du coût de la vie a été l’une des principales planches de sondage, les partis tentant de séduire les électeurs en proposant d’augmenter le salaire minimum et de créer plus d’emplois. Tsipras, en particulier, a utilisé la crise pour attirer les électeurs vers son parti.
Un gagnant est hautement improbable
L’élection, cependant, est très peu susceptible de produire un vainqueur absolu car les partis politiques ne parviennent pas à s’entendre sur une coalition. Un vainqueur est cependant nécessaire, non pas parce que le pays ne peut plus se permettre de déraper sur l’échelle économique, mais aussi parce que le différend avec la Turquie sur les frontières maritimes de la mer Égée et de la Méditerranée orientale devient de plus en plus tendu.
La photo concernant les résultats sera effacée tard dans la nuit après la publication d’un sondage de sortie conjoint par six agences de sondage.
Pendant ce temps, les sondages d’opinion ont prédit que le parti de Mitsotakis pourrait recueillir 35 % des voix, soit environ six points de pourcentage d’avance sur le parti Syriza de Tsipras. Les experts disent que 45% des voix sont nécessaires pour obtenir une majorité absolue.
Si aucune majorité n’est atteinte, une deuxième élection aura lieu le 2 juillet et, en vertu de la nouvelle loi électorale, le vainqueur se verra accorder jusqu’à 50 des 300 sièges du Parlement.
(Avec les contributions des agences)