Customize this title in frenchSyrie : la France veut voir Bachar al-Assad devant le tribunal des crimes de guerre

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La ministre des Affaires étrangères, Catherine Colonna, a déclaré qu’il n’y avait pas de changement dans la politique française, malgré le fait qu’al-Assad ait été chaleureusement accueilli dans le giron par ses collègues dirigeants arabes.

La ministre française des Affaires étrangères a déclaré mardi vouloir voir le président syrien Bachar al-Assad jugé par un tribunal pour crimes de guerre, rappelant « les centaines de milliers de morts » et « l’utilisation d’armes chimiques » imputées à son régime pendant la guerre civile qui commencé dans le pays en 2011.

Dans une interview télévisée, Catherine Colonne a déclaré mardi : « La lutte contre les crimes, contre l’impunité fait partie des valeurs de la diplomatie française ».

« Chaque fois que je dois m’exprimer sur la question syrienne, nos priorités incluent la lutte contre l’impunité », a-t-elle insisté.

Lorsqu’un journaliste lui a demandé si elle voulait qu’il soit jugé, elle a répondu que « la réponse est oui ».

Le président syrien Bachar al-Assad a fait son retour sur la scène régionale en participant au sommet de la Ligue arabe la semaine dernière, après en avoir été exclu pendant plus d’une décennie. Il a été chaleureusement accueilli par les dirigeants arabes, en particulier les Saoudiens.

Cependant, Colonna dit que la France n’a pas l’intention de changer sa politique envers al-Assad.

« Nous devons nous rappeler qui est Bachar al-Assad. C’est un dirigeant qui est l’ennemi de son peuple depuis plus de dix ans », a déclaré le ministre des Affaires étrangères.

Le ministre français a souligné que la levée des sanctions européennes contre la Syrie n’était « certainement pas » à l’ordre du jour, pas plus qu’un changement de position de la France vis-à-vis du président syrien.

« Tant qu’il ne change pas, tant qu’il ne prend pas d’engagements pour la réconciliation, la lutte contre le terrorisme, la lutte contre la drogue, (…) tant qu’il ne respecte pas ses engagements, il n’y a aucune raison de changer d’attitude envers lui », a-t-elle dit.

« Je pense que c’est à lui de changer, ce n’est pas à la France de changer d’attitude. »



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