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Moscou (Russie) (AFP) – L’agence antidopage russe a déclaré vendredi qu’elle ne révélerait pas le verdict dans l’affaire de la patineuse artistique Kamila Valieva, qui est devenue le centre d’un scandale de dopage aux Jeux olympiques d’hiver de Pékin.
Aux Jeux de février, Valieva, qui avait 15 ans à l’époque, est devenue la première femme à réussir un quadruple saut en compétition olympique, aidant l’équipe russe à décrocher l’or dans l’épreuve par équipe.
Il est apparu plus tard qu’elle avait auparavant été testée positive à la trimétazidine, un médicament utilisé pour traiter l’angine de poitrine mais qui est interdit aux athlètes car il peut augmenter l’endurance.
« Tous les processus et procédures liés au traitement des résultats, y compris l’inculpation et la décision finale, sont confidentiels », a déclaré l’Agence antidopage russe (RUSADA) dans un communiqué publié sur son site Internet, sans toutefois mentionner le nom de Valieva.
Il a ajouté que la décision avait été prise pour « protéger les intérêts » du patineur artistique, qui est une « personne protégée ».
Valieva a obtenu ce statut car elle avait moins de 16 ans au moment de la violation alléguée.
L’agence a déclaré qu’elle « n’a pas l’intention d’annoncer la date de l’audience, la décision ou d’autres détails de l’affaire ».
Le Tribunal arbitral du sport (TAS) a autorisé Valieva à continuer à concourir aux Jeux olympiques, invoquant son jeune âge, mais sans l’exonérer de dopage.
Dans la finale individuelle, Valieva a chuté à plusieurs reprises et a terminé à la quatrième place.
Le Comité international olympique a décidé de ne décerner aucune médaille pour l’épreuve par équipe tant que l’affaire de dopage de Valieva n’aura pas été résolue.
© 2022 AFP
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