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Paris (AP) – Novak Djokovic a réitéré son message politique critiqué à Roland-Garros. « Je le dirais encore », a déclaré la star du tennis serbe après son entrée dans le troisième tour du classique terre battue à Paris.
« Évidemment, je suis conscient que beaucoup de gens ne sont pas d’accord avec moi, mais c’est comme ça. C’est quelque chose que je défends. » Après avoir battu l’Américain Aleksandar Kovacevic au premier tour, le vainqueur du tournoi du Grand Chelem à 22 reprises a écrit sur l’objectif d’une caméra de télévision : « Le Kosovo est le cœur de la Serbie. Arrêtez la violence ! » Il a ensuite déclaré qu' »en tant que personnalité publique », il se sentait obligé « de montrer son soutien à notre peuple et à toute la Serbie ».
Après le 7 : 6 (7 : 2), 6 : 0, 6 : 3 contre le Hongrois Marton Fucsovics, il a désormais déclaré : « Un Grand Chelem sans drame, je ne pense pas qu’il y en aura pour moi. Je pense que ça me motive ». aussi. » Il n’a pas souhaité commenter d’autres questions.
Critique : Message « militant, très politique »
La ministre française des Sports, Amélie Oudea-Castera, avait critiqué le message politique de Djokovic comme « inapproprié » et lui avait adressé un avertissement. « Quand il s’agit de défendre les droits de l’homme et de rassembler les gens autour de valeurs universelles, chaque athlète peut le faire », a-t-elle déclaré sur la chaîne de télévision France 2. Cependant, le message de Djokovic était « militant, très politique » et ne devrait pas être répété.
Djokovic ne fait face à aucune sanction à Roland-Garros. Dans un communiqué, l’association mondiale de tennis ITF a fait référence aux règles des tournois du Grand Chelem. « Aucune disposition n’interdit les déclarations politiques », a déclaré l’ITF à l’agence de presse allemande. L’association kosovare s’était plainte dans une lettre de l’action de Serb Djokovic. La lettre a été transmise aux organisateurs du Grand Chelem, a indiqué l’ITF.
Troubles dans le nord du Kosovo
Le contexte de l’action de Djokovic est les récents troubles dans le nord du Kosovo dominé par les Serbes. Des militants serbes avaient protesté contre la nomination de nouveaux maires à Zvecan et dans d’autres municipalités. 30 soldats de la KFOR, la Force de protection du Kosovo dirigée par l’OTAN, ont été blessés. En outre, selon un hôpital de Mitrovica, 53 Serbes ont été blessés.
Le Kosovo, qui est désormais presque exclusivement habité par des Albanais, a déclaré son indépendance en 2008. La Serbie ne reconnaît pas le statut d’État de son ancienne province et exige sa restitution.
© dpa-infocom, dpa:230531-99-893775/6