Customize this title in frenchErdoğan demande la reconnaissance internationale du nord de Chypre

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Le président turc a réitéré son soutien au nord de Chypre lors de sa première visite sur l’île après sa réélection.

Le président turc Recep Tayyip Erdoğan a défendu lundi une solution à deux États à Chypre lors d’une visite dans la partie nord de l’île méditerranéenne.

« S’il y a un retour à la table des négociations, le moyen d’y parvenir passe par la reconnaissance de la République turque de Chypre du Nord », a déclaré Erdoğan lors de sa première visite à l’étranger depuis sa réélection fin mai.

Chypre, qui a rejoint l’Union européenne en 2004, est divisée depuis l’invasion de la partie nord par la Turquie en 1974, en réponse à un coup d’État des nationalistes chypriotes grecs qui souhaitaient rattacher le pays à la Grèce.

La partie nord, avec une majorité de Chypriotes turcs et de colons turcs, a été autoproclamée République turque de Chypre du Nord (RTCN) en 1983.

« Les justes revendications des Chypriotes turcs sont claires et sans équivoque. Les Chypriotes turcs n’ont jamais été et ne seront jamais une minorité », a insisté Erdoğan.

Le président turc a été accueilli par son proche allié Ersin Tatar, président de la République turque de Chypre du Nord (RTCN).

Tatar a déclaré que le nord de Chypre continue de « vivre en harmonie avec la mère patrie turque ».

L’existence de Chypre du Nord n’est reconnue que par Ankara, alors que l’Union européenne considère l’ensemble de l’île comme faisant partie de l’UE.

La Turquie maintient un important contingent militaire dans le nord de Chypre et est un contributeur majeur à l’économie de la région.

L’île méditerranéenne dispose actuellement d’une zone tampon patrouillée par la force de maintien de la paix de l’ONU pour diviser la moitié sud internationalement reconnue et la région nord.

Erdoğan ne fait cependant pas l’unanimité dans le nord de Chypre puisqu’il n’a recueilli que 42,2% des voix sur près de 85 000 Turcs et Chypriotes turcs de nationalité turque qui se sont rendus aux urnes pour le second tour de l’élection présidentielle turque.

Les négociations sur un règlement de la solution à deux États sont au point mort depuis 2017.

Un plan de l’ONU pour réunifier l’île a été soumis à un référendum en 2004, qui a été approuvé par 65% des Chypriotes turcs du nord.

Plus de 75 % des Chypriotes grecs du Sud étaient opposés au projet de division de l’île méditerranéenne par la Turquie.

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