Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsJe photographe Richard Mosse est né à Kilkenny, en Irlande, en 1980. Il a étudié les beaux-arts à Goldsmiths et a obtenu une maîtrise en photographie à Yale. Le conflit occupe une place importante dans son travail : il s’est fait connaître avec une série d’images de la guerre dans l’est de la République démocratique du Congo, rendues frappantes par son utilisation du film infrarouge pour produire des paysages d’un rose éclatant. Il a remporté le prix Deutsche Börse en 2014 et le prix Pictet en 2017 pour son installation vidéo Entrant, sur la crise des migrants en Europe. Dernièrement, il a documenté la destruction de vies et d’écosystèmes en Amazonie. Mosse est l’un des 15 artistes participant à Dear Earth: Art and Hope in a Time of Crisis à la Hayward Gallery, Londres, du 21 juin au 3 septembre.1. FilmTueur de moutons (dir Charles Burnet, 1978) »Cela m’a inspiré à sortir et à faire un film »: Killer of Sheep. Photographie : Photo 12/AlayC’est un film merveilleux, probablement le plus beau que j’ai jamais vu. Il a été réalisé avec peu de moyens et tourné en noir et blanc sur 16 mm. Cela m’a aidé à me sentir inspiré pour sortir et faire un film aussi. Il s’agit de cet ouvrier d’abattoir qui fait de son mieux, mais la société a chié sur lui et il est épuisé. Il s’agit de sa vie, de son combat et aussi de l’amour de sa femme, qu’il n’arrive pas à recevoir. Les plans des enfants qui jouent sont vraiment spéciaux et tendres. En le revoyant l’autre jour, j’ai remarqué que l’utilisation du téléobjectif est particulièrement habile et virtuose.2. LivreDésir postcapitaliste : les dernières conférences de Mark FisherJe viens de commencer à lire ceci. C’est ma première rencontre avec Mark Fisher, mais je suis vraiment intéressé par ses réflexions sur l’hantologie – sur les fantômes de la modernité et les désirs utopiques que nous voyons tout autour de nous. J’essaie aussi de comprendre le potentiel du psychédélique, qui surgit dans mon propre travail. Le livre est composé des conférences de Fisher à Goldsmiths avant sa mort en 2017. (J’ai étudié à Goldsmiths mais je ne l’ai pas rencontré. J’aurais aimé.) C’est une lecture déprimante, mais j’espère que cela m’aidera à réfléchir. mon propre travail et m’amener à de nouvelles idées.3. DocumentaireLe Territoire (dir Alex Pritz, 2022)’Incroyable’ : Le Territoire. Photographie: Alex Pritz / Amazon Land DocumentaireCe film sur l’Amazonie a été tourné à peu près à la même époque que le mien [Broken Spectre], bien que les deux se soient avérés extrêmement différents. Pritz s’est concentré sur l’état de Rondônia au Brésil, en particulier dans le sud où se trouve le peuple Uru-Eu-Wau-Wau, et il documente leurs luttes alors que la forêt est défrichée pour créer de vastes plantations monoculturelles. Pritz réalisait le documentaire lorsque la pandémie a frappé, et il a fini par donner les caméras à ses sujets pour continuer à tourner. C’est un film incroyable.4. Livre photoDialecte de Felipe Romero Beltrán« Une collaboration avec des migrants marocains » : le dialecte de Felipe Romero Beltrán. Photographie : Felipe Romero Beltrán / Articulations lâchesJe ne connais pas le travail de Beltrán, mais ce livre me tient beaucoup à cœur, dans la mesure où il parle de réfugiés. L’artiste a collaboré avec neuf migrants marocains à Séville pour produire des photographies extraordinaires. En tant qu’artiste ou conteur, essayer de creuser le sort des réfugiés est une tâche difficile. C’est un sujet tellement incendiaire, et il est difficile de trouver de nouvelles façons de le faire. Cela adopte une approche performative. Les images sont très rares. L’idée de collaborer avec les sujets est fructueuse, et je pense que Beltrán le fait très bien.5. LieuFerme du lac Avalla en boucle marcher dans Comté de Clare, IrlandeChèvres sauvages sur la promenade de la ferme du Lough Avalla. Photographie : Dennis Frates/AlamyChaque fois que je viens au Burren, je parcours cette boucle à travers la ferme du Lough Avalla. C’est absolument magnifique, et ça change constamment, avec beaucoup de petits virages à travers les broussailles, avec des chèvres sauvages et des vaches à poils longs. Le fermier, Harry Jeuken, a une petite maison de thé où vous pouvez entrer et il vous fera du thé et des gâteaux, qu’il donne gratuitement. Je suis intrigué par ses idées. Il croit qu’il y a une énergie dans l’espace extra-atmosphérique qui est canalisée à travers ces rochers aériens qu’il a installés autour de la ferme. Il le fait pour engraisser les chèvres. Il y a quelque chose de très spécial dans cette promenade.6. ArtAn-My Lê: Entre deux rivières au MoMA, New York« Une vue extraordinaire sur le monde » : An-My Lê. Photographie : Matt Carr/Getty ImagesAn-My Lê est une véritable inspiration pour moi. J’ai suivi son travail pendant des décennies, c’est donc excitant qu’elle ait une rétrospective au MoMA en novembre [5 November-9 March]. Elle est née au Vietnam et a fui aux États-Unis avec sa famille lorsqu’elle était enfant, elle a donc une vision très spécifique et extraordinaire du monde. Une grande partie de son travail porte sur la machine de guerre américaine sous ses diverses formes. Elle a fait une formidable série sur les statues de généraux de la guerre civile et une autre sur les reconstitueurs de la guerre du Vietnam. C’est une photographe incroyable.
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