Customize this title in frenchLe législateur européen Cozzolino inculpé dans une enquête sur la corruption dans l’UE

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Cozzolino est le troisième législateur à être accusé de corruption à la suite d’allégations selon lesquelles le Qatar et le Maroc auraient soudoyé des politiciens.

Le législateur européen Andrea Cozzolino a été extradé vers la Belgique et inculpé dans le cadre d’un scandale d’argent contre influence au Parlement européen.

Le parlementaire européen du Parti démocrate italien de centre-gauche a été inculpé de corruption publique, d’organisation criminelle et de blanchiment d’argent, a-t-il ajouté, ajoutant qu’il avait ensuite été libéré sous « certaines conditions » dans l’attente d’une enquête plus approfondie.

Le scandale, le plus important à secouer la politique européenne depuis des décennies, repose sur des soupçons selon lesquels le Qatar et le Maroc auraient soudoyé des politiciens, des assistants parlementaires et des organisations non gouvernementales pour influencer la prise de décision au sein de l’assemblée de l’UE.

Le mois dernier, l’Italie avait accepté de l’extrader vers la Belgique. Il s’est rendu en Belgique par avion lundi pour y être interrogé après avoir été arrêté il y a quatre mois en Italie sur mandat international.

Cozzolino a nié tout acte répréhensible. Le Qatar et le Maroc nient toute implication dans la corruption.

Le Qatar dit que les informations sont « inexactes »

L’homme de 60 ans est le troisième législateur à être inculpé pour le stratagème présumé.

Eva Kaili, parlementaire grecque et l’une des vice-présidentes du Parlement européen, faisait partie des personnes inculpées après une série de raids qui ont permis de découvrir environ 1,5 million d’euros (1,59 million de dollars). Elle a nié tout acte répréhensible.

Depuis que l’allégation a émergé, le Qatar a soutenu que son gouvernement « travaille par le biais d’un engagement d’institution à institution et agit en pleine conformité avec les lois et réglementations internationales ».

L’année dernière, un responsable qatari a déclaré que l’enquête reposait sur des informations « inexactes » et pourrait avoir un impact « négatif » sur les relations entre l’État du Golfe et la Belgique.

Al Jazeera a contacté des responsables qataris pour un commentaire sur l’extradition et les dernières accusations.

Le procureur fédéral belge a déclaré qu’il s’attend à ce que l’enquête soit terminée d’ici la fin de l’année.

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