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La France exprime sa tristesse suite au décès du vétéran explorateur sous-marin Paul-Henri Nargeolet dans la tragédie d’OceanGate
Alors que la tragédie de la catastrophe de l’OceanGate résonne dans le monde entier, les Français pleurent la mort de l’explorateur sous-marin Paul-Henri Nargeolet.
Nargeolet, soixante-dix-sept ans, était considéré comme l’un des meilleurs experts mondiaux de l’exploration sous-marine.
Il débute sa carrière comme officier dans la Marine nationale française et devient commandant d’une unité de sous-marins d’intervention en haute mer.
De là, il s’oriente vers l’archéologie maritime, pilotant de nombreuses plongées sur le Titanic à partir de 1987.
En 1986, il devient chef des sous-marins d’intervention en haute mer à l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer).
Un an plus tôt, une équipe dirigée par le scientifique américain Robert Ballard, en coopération avec l’Ifremer, avait retrouvé l’épave du Titanic.
Nargeolet était directeur de la recherche sous-marine pour E/M Group et RMS Titanic Inc. ; la société qui détient les droits de récupération de l’épave du Titanic. À ce titre, il a supervisé la récupération de quelque 5 000 artefacts sur le site de l’épave.
Son travail de pionnier a eu une grande influence sur le réalisateur James Cameron en préparation du tournage de « Titanic ». Ce fut le début d’une longue relation, avec les deux hommes experts sur le navire malheureux.
Son enthousiasme semble avoir été intact lorsqu’il s’est inscrit pour le voyage fatidique sur le sous-marin OceanGate.
Des collègues ont expliqué qu’il aurait été conscient des risques mais aurait été animé par une soif inextinguible d’exploration plus approfondie.