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La Cour européenne des droits de l’homme a vivement critiqué la Russie pour son enquête sur le meurtre de l’opposant de Poutine, Boris Nemtsov, en 2015.
La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a condamné la Russie pour ne pas avoir mené d’enquête adéquate et efficace sur le meurtre en 2015 à Moscou de Boris Nemtsov, l’un des principaux opposants à Vladimir Poutine.
Nemtsov a été abattu de quatre balles à bout portant sur un pont près du Kremlin le 27 février 2015. L’affaire a été portée devant le tribunal par sa fille Zhanna.
Le 11 juillet, la Cour a estimé que les autorités russes n’avaient pas enquêté de manière adéquate sur l’identité des personnes qui avaient organisé et ordonné l’assassinat. Ils n’ont pas non plus examiné les allégations de motivation politique ou d’implication d’acteurs étatiques.
Cinq suspects ont été arrêtés après le meurtre et un sixième a été tué lors de son interrogatoire. À l’issue de leur procès en juillet 2017, ces cinq hommes originaires des républiques de Tchétchénie et d’Ingouchie, dans le Caucase russe, ont été condamnés entre 11 et 20 ans de prison pour le meurtre.
L’un des suspects avait affirmé que le meurtre était une réaction au soutien de M. Nemtsov à la publication de caricatures de Mahomet dans le journal satirique français Charlie Hebdo, avant de se rétracter, expliquant qu’il avait donné cette version sous la contrainte.
Cependant, la famille de Boris Nemtsov a condamné ce qu’elle a qualifié de « fiasco total » de la part de la justice russe, qui n’a pas réussi à identifier le véritable instigateur du meurtre.
La CEDH note que la partie de l’enquête visant à découvrir l’identité du commanditaire et d’éventuels liens avec les autorités tchétchènes de Ramzan Kadyrov a été dissociée de l’affaire contre les cinq principaux suspects.
Cette partie de l’enquête est toujours officiellement en cours.