Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsSepuis que le festival annuel de flamenco a été organisé pour la première fois à Sadler’s Wells en 2003, l’idée de ce qu’est le flamenco a été étirée, rompue et remodelée à plusieurs reprises. L’an dernier, l’un de ses tubes était ¡Viva! de Manuel Liñán. qui a vu Liñán et sa compagnie vêtus de costumes féminins complets, exprimant leur identité queer. (Liñán a été nominé pour un prix national de danse et un Olivier.)Liñán est de retour cette année, dans un spectacle de gala entièrement masculin, et dans une offre plus discrète, Amor Amado Amén, qui médite sur l’amour. C’est le résultat d’une semaine de résidence à Sadler’s Wells, cinq jours seulement en studio avec trois collaborateurs : le guitariste flamenco Francisco Vinuesa, le multi-instrumentiste et thérapeute psycho-sensoriel Sabio Janiak et le guérisseur et coach spirituel croate Ivan Bavcevic. Pas toutes les personnes conventionnelles avec qui partager la scène.Rêverie sur l’amour… Manuel Liñán avec Francisco Vinuesa dans Amor Amado Amén. Photographie : Jane HobsonUne grande partie du travail en cours semble encore improvisée, différents mondes ne se rencontrent pas tout à fait. Liñán expérimente l’utilisation de coups de microphone et de respirations aiguës au lieu de claquements de mains contra-tiempo entre les battements. Bavcevic entonne, « Seul le désir me maintient en vie » en boucle sur un rythme clubby. Janiak joue un cornet lugubre avec Liñán dansant de manière flirteuse. Il y a de beaux moments, comme lorsque deux hommes marchent simplement ensemble, se souriant dans les yeux, mais c’est définitivement encore au stade de développement. Les choses se mettent plus facilement en place lorsque Liñán danse dans une conversation intense avec la guitare de Vinuesa. En terrain connu, Liñán est parfaitement explosif, avec l’attaque forte et soudaine d’une souricière, et quand il est aspiré par le moment, nous aussi.Dans la maison principale de Sadler’s Wells, une autre offre entièrement masculine, La Confluencia, de Rafael Estévez, Valeriano Paños et compagnie voit un rythme plus captivant et une théâtralité plus sous-développée. La Confluencia s’inspire de la rencontre des cultures qui ont formé le flamenco, de l’Inde à l’Europe, en passant par les influences juives et maghrébines. Mais ce n’est pas un récit de voyage, et tout est tissé dans la masse du mouvement, aux côtés d’autres pas de magpied : un arc courtois, l’arabesque et le développé du ballet, un contact partenaire, un bref coup de pied de karaté, une danse folklorique. À un moment donné, les fesses agitées des hommes soulignent qu’il y a de l’humour ici, mais cela se joue avec un visage impassible.Thématiquement, à mesure que la pièce avance, il est difficile à lire, mais la danse est irrésistible. Cinq hommes, tous vêtus de noir, rôdent sur le devant de la scène, lorgnant intensément le public. Leur jeu de jambes a une clarté de rythme, pas seulement une bousculade. Il y a une économie dans la performance, seul ce qui doit bouger, bouge, direct de A à B, mais avec style. Paños tourne étroitement, sur un axe immobile, tandis que les mains d’Estévez sont floues, comme si elles chuchotaient frénétiquement, ou bien il est assis sur une chaise, face au chanteur aux tons chauds Francisco Blanco, laissant juste ses pieds parler.Danse irrésistible… La Confluencia. Photographie : Beatrix Molnar.molnarmexi.comAu fur et à mesure que la pièce progresse sur 100 minutes, certaines d’entre elles commencent à se sentir implacables, et les références sans aucun doute profondément recherchées sont perdues pour tous sauf le spectateur le plus expert. Mais il y a encore des éclats d’éclat, comme le torrent de syllabes parlées d’Estévez, sans doute le bolsou percussion vocale du nord de l’Inde, où l’on pense que le flamenco est né il y a des siècles, ses racines sous-tendant toujours une forme d’art en constante évolution.
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