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Les troupes sur la ligne de front en Ukraine disent qu’elles ont besoin des armes occidentales promises au plus tôt pour assurer le succès de la contre-offensive.
Alors que la contre-offensive de l’Ukraine se poursuit, tandis que les troupes de Kiev utilisent de plus en plus des armes fournies par l’Occident, une grande partie des combats se déroule encore avec du matériel de l’ère soviétique.
Alors que la promesse de cette semaine de l’OTAN de plus d’armes a été bien accueillie, les troupes sur la ligne de front à Donetsk disent qu’elles en ont besoin maintenant.
« Nous avons beaucoup appris. Je pense que les pays qui nous ont donné des armes ont déjà vu comment ils fonctionnent et comment ils peuvent être coordonnés sur notre terrain d’entraînement. Par conséquent, nous serons un gros plus pour eux. Nous nous entraiderons », a déclaré Volodimir, chef de la 59e brigade ukrainienne.
Il a dit qu’ils peuvent apporter toutes les connaissances militaires qu’ils ont acquises depuis le début de la guerre au profit de l’alliance militaire de l’OTAN.
Leur expérience est précieuse, allant du développement de nouveaux systèmes d’écoute directionnelle permettant de géolocaliser les batteries ennemies à des kilomètres de distance, à l’élaboration de tactiques pour affronter l’armée russe, l’une des plus puissantes au monde.
Et ils ont dit qu’ils considéraient la récente décision controversée des États-Unis de donner des bombes à fragmentation à l’Ukraine comme essentielle au succès de la contre-offensive.
« Je pense qu’il est juste que nous utilisions toutes sortes d’armes pour nous défendre. Nous ne combattons pas sur leur territoire, nous défendons notre propre territoire et nous voulons/voulons le libérer », a déclaré l’officier ukrainien Igor.
« Nous voulons les repousser de l’autre côté de la frontière, nous voulons chasser le mal et les laisser faire ce qu’ils veulent sur leur propre territoire. »
Les analystes disent que l’impact réel des armes occidentales ne sera pas visible tant que l’Ukraine n’aura pas engagé le gros de ses forces de combat actuellement détenues en réserve.