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HIl s’agit d’une adaptation totalement inutile de la nouvelle de Stephen King de 1977 sur les enfants tueurs qui massacrent tous les adultes de la ville en sacrifice à un dieu païen du maïs. Incroyablement, l’histoire de 10 000 mots de King a maintenant engendré 11 films, à commencer par le classique culte de 1984 avec Linda Hamilton. Cette nouvelle commence avec une bouffée de quelque chose d’intéressant : l’idée que les enfants d’aujourd’hui pourraient vouloir trancher la gorge de leurs parents pour avoir laissé la planète dans un tel gâchis. Mais le script est loin d’être assez intelligent pour exploiter le potentiel juteux des commentaires sociaux. Au lieu de cela, cela devient rapidement idiot et peu effrayant.
Cette version se déroule dans un endroit appelé Rylstone, une ville agricole rouillée du Nebraska où le maïs génétiquement modifié est responsable d’années de mauvaises récoltes. Lors d’une assemblée publique, des agriculteurs désespérés votent pour abandonner : accepter une récompense du gouvernement, enterrer le maïs, quitter la ville. Ce qu’ils n’ont pas remarqué, ce sont les yeux froids et sans émotion de leurs propres enfants qui ont passé énormément de temps dans les champs ces derniers temps. Le chef de file de ces mauvaises graines juniors est Eden, une fille de 12 ans avec des nattes qui ne fondraient pas au beurre (Kate Moyer, jouant un rôle efficace d’enfant effrayant).
Le seul jeune qui n’a pas été touché est Bo (Elena Kampouris), une militante écologiste sur le point de quitter la ville pour l’université. Elle se demande si les toxines contenues dans l’engrais provoquent des hallucinations chez les petits. Mais non : l’explication de leur folie meurtrière est un démon maléfique suppurant dans les champs de maïs. Dieu seul sait pourquoi, mais les cinéastes décident de montrer le monstre du maïs : mi-homme, mi-plante, il ressemble un peu à Stick Man des livres de Julia Donaldson, et est à peu près aussi terrifiant.
C’est un slasher sanglant d’un film mais ce n’est pas original ou troublant. Ce qui manque, c’est l’horreur folklorique ; à part une crucifixion symbolique ou deux, il n’y a aucune des vibrations de Wicker Man de l’original de 1984. En comparaison, c’est ennuyeux et fade. Quel connard.