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Les actions d’UBS ont connu une baisse significative lorsque le ministère américain de la Justice a lancé une enquête intensifiée sur des manquements présumés à la conformité qui ont aidé des clients russes à échapper aux sanctions.
Les actions d’UBS, la banque d’investissement suisse, ont connu une baisse notable mercredi à la suite d’informations selon lesquelles le ministère américain de la Justice aurait intensifié son enquête sur des manquements présumés à la conformité qui auraient permis russe clients à échapper aux sanctions.
Interrogée par Reuters en réponse à l’article de Bloomberg News, UBS a choisi de rester discrète sur la situation.
Le rapport suggère que ces prétendus manquements à la conformité concernent à la fois l’UBS et le Crédit Suisse, ce dernier ayant été racheté par la plus grande UBS au début de cette année.
Bloomberg a rapporté qu’une enquête approfondie du ministère de la Justice, principalement axée sur le Crédit Suisse et les violations potentielles des sanctions, est actuellement en cours, citant des sources proches du dossier.
Dans son dernier rapport financier publié fin août, UBS a déclaré que ses programmes de sanctions étaient méticuleusement conçus pour s’aligner sur les sanctions imposées par diverses juridictions, notamment celles imposées par les Nations Unies, la Suisse, l’Union européenne, le Royaume-Uni et le Royaume-Uni. États-Unis.
Les actions UBS ont chuté de près de 8%
Après la publication du rapport, le négoce des actions UBS a été temporairement suspendu, avec une baisse initiale de près de 8%. Cependant, les actions de la banque suisse ont ensuite légèrement rebondi, s’échangeant finalement en baisse de 3,3% à 15h00 GMT.
Le rapport de Bloomberg mentionne également que le ministère de la Justice s’est entretenu avec des avocats américains représentant UBS au sujet de l’implication présumée du Crédit Suisse dans des violations des sanctions suite à l’acquisition par UBS du plus petit rival en juin. L’une des sources de Bloomberg a indiqué que l’enquête en est encore à ses débuts et ne débouchera pas nécessairement sur des accusations ou un règlement.
L’enquête du ministère de la Justice engloberait les sanctions imposées après l’attaque russe 2022 l’invasion de l’Ukraine et les restrictions antérieures mises en œuvre après l’annexion de la Crimée en 2014.
JP Morgan a souligné dans un communiqué que l’enquête du ministère de la Justice représentait un défi pour UBS, mais s’est dit convaincu que la banque avait constitué des provisions suffisantes pour faire face aux coûts potentiels découlant de l’affaire.
Fin juin, UBS disposait de provisions pour litiges totalisant 4,7 milliards de dollars (4,45 milliards d’euros), avec la possibilité de provisions supplémentaires de 2,2 milliards de dollars (2 milliards d’euros) liées à d’éventuelles dépenses de litige futures.
La banque suisse a ajusté sa valorisation du Crédit Suisse de 3 milliards de dollars (2,84 milliards d’euros) pour tenir compte des sorties de capitaux liées aux passifs conditionnels tels que les poursuites. L’évaluation de JP Morgan concluait : « Au total, cela représente 6,8 milliards de dollars (6,43 milliards d’euros) de provisions et 3 milliards de dollars de passifs éventuels, soit près de 10 milliards de dollars (9,46 milliards d’euros) de coussin lié aux litiges dans nos prévisions. »