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L’arrière-grand-mère de 95 ans, atteinte de démence, a reçu un Taser et est tombée, se cognant la tête au sol.
Elle a passé une semaine à l’hôpital après avoir subi des blessures graves, notamment une fracture du crâne, avant de mourir.
Son fils aîné Michael Nowland, en tant qu’exécuteur testamentaire de sa succession, poursuit l’État dans une affaire qui devait faire l’objet d’une conférence préalable au procès au tribunal de district de Bega jeudi.
La procédure a été lancée alors que Nowland recevait encore des soins de fin de vie à l’hôpital, a déclaré l’avocat de la famille.
Une date d’audience prévue en novembre a été annulée et les parties ont entamé une médiation, qui devrait avoir lieu avant fin décembre.
L’affaire reviendra devant le tribunal pour une conférence de mise en état en février.
L’agent principal Kristian White, 33 ans, a été accusé d’avoir causé par imprudence des lésions corporelles graves à la suite de l’incident et doit comparaître devant le tribunal la semaine prochaine alors que les enquêteurs attendent un rapport d’autopsie sur la mort de Nowland.
On lui a demandé à plusieurs reprises de laisser tomber le couteau dentelé qu’elle tenait avant de recevoir un Taser, mais elle a répondu « non » ou n’a pas répondu, selon des documents judiciaires.
White l’a confrontée avec son Taser dégainé et lui a dit d’arrêter de bouger avant de dire « non, c’est foutu » et de tirer avec l’arme.
La police affirme que les actions du policier, qui a été suspendu avec salaire, étaient « largement disproportionnées » et constituaient un recours excessif à la force compte tenu de l’âge et de la fragilité de Nowland.
Sa famille a qualifié ces allégations de « extrêmement consternantes et choquantes ».