Customize this title in frenchLe chômage de la zone euro toujours à son plus bas niveau en août, à 6,4%

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Les taux de chômage continuent de baisser dans les pays qui utilisent l’euro. Pour l’ensemble de l’Union européenne, le taux de chômage s’est établi à 5,9% en août, comme en mai et juin.

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Le taux de chômage dans la zone euro a diminué d’un dixième entre juillet et août, s’établissant à 6,4 %. Il s’agit du chiffre le plus bas jamais enregistré pour l’union monétaire, selon les données publiées lundi par l’Office des statistiques Eurostat.

Il bat le précédent record de chômage établi en juin de cette année et est inférieur de 0,3 % au taux d’août 2022.

Pour l’Union européenne dans son ensemble, plutôt que pour le bloc économique, le taux de chômage s’est établi à 5,9 % en août, soit le même qu’en mai et juin, et il était inférieur de 0,1 point à celui de juillet.

Le chômage a fortement diminué en Europe depuis la mi-2021, grâce à une forte reprise économique après la récession provoquée par la pandémie.

Cela se produit malgré les défis auxquels fait face la zone euro, notamment la guerre en Ukraine et des taux d’inflation élevés.

Quel pays a les meilleurs chiffres ?

Pour regarder les principales économies du bloc, Allemagne a l’un des taux de chômage les plus bas de l’UE. Eurostat l’a indiqué à 3%, un chiffre resté stable au cours des trois derniers mois.

Pour la France, le chômage s’est établi à 7,3% en août, en légère baisse par rapport au mois précédent. L’Italie a connu le même niveau de chômage pour le mois d’août, en baisse respectivement de 0,1 point et 0,2 point par rapport à juillet.

Les taux les plus bas de l’UE ont été enregistrés en République tchèque (2,5%), à Malte (2,7%) et en Pologne (2,8%).

Les taux les plus élevés ont été enregistrés en Espagne (11,5%) et en Grèce (10,9%).

Les jeunes sont les plus durement touchés

Les jeunes restent les plus touchés par le chômage.

En août 2023, le taux de chômage des moins de 25 ans s’élevait à 14 % dans l’UE et à 13,8 % dans la zone euro. Par rapport au mois précédent, les données montrent une légère baisse.

Les chiffres d’Eurostat sont basés sur la définition du chômage du Bureau international du Travail (BIT). Les chômeurs sont définis comme ceux qui ont activement recherché un emploi au cours des quatre semaines précédentes et sont disponibles pour commencer à travailler dans les deux semaines suivantes.

Les taux de chômage continueront-ils à baisser ?

Les taux de chômage sont un indicateur important de la santé des économies. Bien que ces taux ne réagissent pas immédiatement aux facteurs positifs ou négatifs, la baisse des taux de chômage et des taux faibles et stables indiquent une économie plutôt saine.

Moins de chômeurs signifie que vous utilisez une plus grande partie de votre main-d’œuvre potentielle, et les États finissent par dépenser moins en prestations sociales pour couvrir la perte de salaire.

Le taux de chômage global de la zone euro est en baisse depuis trois ans. En août 2020, il a atteint 8,6 %, son niveau le plus élevé après les confinements complets liés au COVID-19 mis en place plus tôt la même année.

Même si le chômage a fortement augmenté en raison de la pandémie, les chiffres atteints étaient relativement faibles par rapport au taux de chômage minimum stupéfiant de 12 % observé pour toute l’année 2013 – le taux le plus élevé jamais enregistré dans la zone euro.

La relation bien documentée entre inflation et chômage apparaît une fois de plus aujourd’hui : alors que l’inflation est restée élevée dans la zone euro au cours des deux dernières années, le chômage a diminué.

Pour tenter de freiner l’inflation élevée, la Banque centrale européenne (BCE) a augmenté ses taux d’intérêt. Depuis le 20 septembre, la BCE a relevé son taux de référence sur les dépôts à 4%le plus élevé jamais enregistré.

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Le taux d’inflation de la zone euro de 5,2 % pour août 2023, même s’il devrait diminuer en septembre, est bien supérieur à l’objectif de 2 % visé par la BCE.

Mais tout comme on sait que les taux de chômage et d’inflation réagissent les uns aux autres, les taux d’intérêt jouent également un rôle. Plus ils sont élevés, plus les consommateurs et les entreprises risquent d’être réticents à dépenser, ce qui finira par entraîner une hausse du chômage.

Pour l’instant, la BCE estime que le chômage et les taux d’inflation continueront de baisser Dans les mois à venir.

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