Make this article seo compatible, Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
© Reuter. PHOTO DE FICHIER : Le logo SpaceX et la silhouette d’Elon Musk sont visibles dans cette illustration prise le 19 décembre 2022. REUTERS/Dado Ruvic/Illustration//File Photo
Par Daniel Wiessner
(Reuters) – SpaceX d’Elon Musk a été poursuivi en justice par une ancienne employée qui prétend que la société de fusées et de satellites paie et promeut moins les femmes et les minorités que les hommes blancs.
L’ancienne ingénieure de SpaceX, Ashley Foltz, a déposé mardi un recours collectif devant un tribunal de l’État de Californie, affirmant que l’entreprise lui versait 92 000 dollars par an, tandis que les hommes ayant des fonctions et des qualifications similaires recevaient jusqu’à 115 000 dollars.
La loi californienne interdit aux employeurs de rémunérer les travailleurs moins que leurs collègues qui effectuent un « travail sensiblement similaire » en fonction de leur sexe, de leur race ou de leur origine ethnique.
Foltz a déclaré avoir découvert l’écart lorsque SpaceX a publié des offres d’emploi pour des postes d’ingénieur avec une échelle salariale de 95 000 $ à 115 000 $. Une loi californienne sur la « transparence des salaires » est entrée en vigueur cette année et oblige les employeurs à afficher les échelles de salaire dans les offres d’emploi.
SpaceX a augmenté le salaire de Foltz à 95 000 dollars seulement après avoir été tenu d’inclure ces informations dans les offres d’emploi, selon la plainte.
Foltz allègue que SpaceX embauche des femmes et des minorités à des postes de niveau inférieur afin de justifier des salaires inférieurs et promeut les employés hommes et blancs à un taux plus élevé que les autres travailleurs, exacerbant ainsi la disparité salariale.
SpaceX n’a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire.
Ce procès est le dernier en date à accuser des entreprises détenues ou dirigées par Musk de discrimination en matière d’emploi.
Le ministère américain de la Justice a déposé une plainte en août accusant SpaceX de refuser d’embaucher des réfugiés et des demandeurs d’asile dépourvus de la citoyenneté américaine. SpaceX a nié tout acte répréhensible et a déposé le mois dernier une contre-poursuite visant à bloquer le dossier du gouvernement.
Tesla (NASDAQ 🙂 Inc, dont Musk est PDG, a été accusée à plusieurs reprises par les travailleurs et les agences gouvernementales de ne pas avoir mis fin au harcèlement racial et sexuel dans son usine de véhicules électriques de Fremont, en Californie, et dans d’autres installations.
Et X Corp, anciennement connue sous le nom de Twitter, fait face à une série de poursuites judiciaires, affirmant qu’elle avait fait preuve de discrimination à l’égard des femmes, des travailleurs âgés et des employés handicapés lorsque Musk a acquis l’entreprise l’année dernière et a licencié la moitié de ses effectifs.
Tesla et X ont nié tout acte répréhensible.