Customize this title in frenchLe logement abordable est un enjeu clé des élections luxembourgeoises alors que les électeurs se rendent aux urnes

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Le Grand-Duché est considéré comme l’un des pays les plus riches de l’UE, mais nombre de ceux qui y travaillent se sentent exclus du prix du logement.

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Le logement abordable est une question clé alors que les électeurs se rendent aux urnes dimanche au Luxembourg.

Avec une population de seulement 660 000 habitants, le Grand-Duché est généralement considéré comme l’un des endroits les plus riches de l’Union européenne, mais comme l’ont montré les manifestations de vendredi, cela a un prix pour certains.

Dans la capitale, les appartements neufs se vendent 13 000 euros le mètre carré et les plus anciens 10 700 euros. Le coût moyen d’une maison est de 1,5 million d’euros.

Les loyers ont augmenté de 6,7 % entre juin 2022 et juin 2023, bien plus vite que le taux d’inflation de 3,4 % sur cette période.

Philippe Poirier, analyste politique à l’Université du Luxembourg, estime que le logement est devenu « la question qui éclipse toutes les autres » lors des élections législatives.

Il a cité comme problèmes clés « la rareté des logements et des terrains, le coût de la construction ou de l’achat et les loyers élevés ».

Les partis promettent d’agir

Les deux principaux partis politiques qui espèrent diriger le prochain gouvernement se sont engagés à agir.

Le Parti libéral du Premier ministre Xavier Bettel a promis de créer un super-ministère du logement, veut taxer davantage les logements vacants et investir dans le logement social.

La leader socialiste Paulette Lenert, ministre de la Santé de l’actuel gouvernement de coalition, fait pression pour des investissements massifs dans le logement abordable.

La coalition au pouvoir de Xavier Bettel avec les Socialistes et les Verts est en retard dans les sondages par rapport au parti populaire chrétien-social de centre-droit, ce qui suggère que le mandat de dix ans de Bettel au poste de Premier ministre pourrait toucher à sa fin.

Aucun parti ne semble susceptible d’obtenir une majorité absolue et une période d’intenses négociations suivra probablement le vote. Lors des deux élections précédentes, le centre-droit n’a pas réussi à former une coalition.

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